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Karine Le Marchand : nouvelle vie, nouvel amant ?, nouvel appartement, Sylvie Vartan, scoop ! : sa vérité sur Johnny, Bertrand Cantat, l'album : l’impossible retour à toute blinde, phares allumés
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Revue de presse people

Mais aussi les confidences de la nounou de Yannick Noah, la drôle de leçon de M Pokora aux “ petits cons ”, la méga-GIGA métamorphose de Boy George et, et, et… Bernadette, pas chouette, qui refuse de renflouer la fondation Jacques Chirac, menacée d’extinction. C’est samedi, c’est people et c’est toujours un poème !

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Un petit point Karine Le Marchand/Lilian Thuram, pour commencer ? Houlà ! Qu’est-ce que vous allez encore nous annoncer ? Bé, ça bouge, les amis… enfin, c’est surtout Karine qui bouge…

Karine Le Marchand : le grand déménagement

“ Elle a déménagé ! ”, nous annonce “ Public ”. Histoire de tourner la page, la belle a en effet quitté “ le luxueux hôtel particulier de la rue Michel-Ange dans le 16e, qu’elle partageait avec Lilian, nous dit le mag : Karine a trouvé un super appartement dans un immeuble haussmannien à quelques dizaines de mètres de là — pour ne pas perturber sa fille Alya, 10 ans. Mardi 24 septembre, on pouvait ainsi croiser l’animatrice dans le quartier — parée de sa plus belle tenue de travail — faisant des allers-retours d’un appartement à l’autre (…). Comme à son habitude, Karine a tout organisé elle-même. Normal… Et elle compte bien faire de cet appart son nouveau nid d’amour, dès qu’elle pourra officialiser sa love story… ” Rââââ, “ Public ”, tu nous en dis trop ou pas assez, là… C’est qui, son nouveau chéri (connu et marié, d'après ce que tu nous disais samedi dernier — voir la RP du 21 septembre) ? Tu veux rien dire ? Bah, on va attendre, alors, hein. Grrrrrr !

La nounou de Yannick Noah parle

Et puisqu’on parle maison, foyer, etc., vous l’avez appris sur le Net cette semaine : l’ancienne nounou de Yannick Noah et d’Isabelle Camus accuse le couple de l’avoir exploitée : “ J’ai travaillé jour et nuit pour 950 euros par mois ”, confie Rabra Bendjebbour à “ Voici ” qui l’a rencontrée le 24 septembre “ au tribunal des prud’hommes de Bobigny où une audience de conciliation allait avoir lieu, après qu’elle avait porté plainte pour licenciement abusif. “ Je suis arrivée chez les Noah, en juin 2004, dès la naissance du bébé. Auparavant, je faisais des heures de ménage aux Restos du cœur. C’est le directeur artistique des Enfoirés qui m’a recommandée ”. (…) Elle décrit son quotidien dans la famille du chanteur : obligée de dormir dans la chambre du bébé afin d’être disponible à toute heure du jour et de la nuit, cumulant les fonctions de nounou et de femme de ménage… ”. Pour 950 euros par mois ? Sympa.

“ C’est pas mon problème, tu dois voir ça avec Isabelle ”

“ Comment s’est-elle laissée entraîner dans cette spirale ?, lui demande le mag. “ C’est un tourbillon, (lui) explique-t-elle. On adore les enfants, on a l’impression de faire partie de la famille, alors on ne compte plus les heures ”. Selon elle, seul Joakim, le fils aîné du chanteur, de passage à la maison, se serait ému de son sort : “ Il était dégoûté pour moi ” ”, dit-elle. Fatiguée par ces horaires à rallonge et l’absence de congés payés, la nounou se plaint à Isabelle Camus. “ Je lui ai juste expliqué que je n’étais pas prête à travailler jour et nuit. Elle m’a dit : “ Dans ce cas-là, dégage ! ” Vient alors le licenciement en février 2005. “ C’est le comptable de ma sœur qui m’a fait prendre conscience que j’étais exploitée. J’en ai alors parlé à Yannick ”. Il lui répond par SMS que ce n’est pas “ son problème et qu’elle doit voir ça avec son épouse, Isabelle ” ”. Ben, si c’est vrai tout ça, c’est bien moche, et padtafait conforme à l’image que le chouchou des Français nous avait offerte jusque-là. D’après “ Voici ”, l’affaire sera tranchée le 5 juin 2014. A moins qu’elle ne s’arrange gentiment d’ici là ?

M Pokora contre l’argent facile que se font les dealers

Et puisqu’on parle d’image, surprise !, M Pokora dévoile dans “ Paris-Match ” un visage qu’on ne lui connaissait pas. Evoquant l’éducation que lui ont donnée ses parents et un petit boulot qu'il avait fait, un été, chez Quick pour “ s’acheter quelques fringues et donner un peu d’argent à (sa) mère ”, il fait en effet remarquer que “ les portes des fast-foods sont ouvertes à tous ceux qui veulent travailler, sans discrimination. Gagner de l’argent en dealant n’est pas difficile. Se lever tous les matins et se saigner au boulot l’est beaucoup plus. C’est un choix ”. A bon entendeur… C’est qu’il a des principes, Matt : mieux, il a des valeurs, qu’il a — ah ha ! — "héritées de son grand-père". De son grand-père, oui, oui...

“ S’il y a autant de petits cons en France, c’est parce qu’il n’y a plus de service militaire ”

“ Lesquelles ? ”, demande “ Match ”. —“ Dire bonjour quand on entre dans une pièce, attendre de s’asseoir quand une personne âgée est encore debout… Bref, être poli, respecter les autres. Mon grand-père, explique le chanteur, était un “ bonhomme ” à l’ancienne, qui avait passé du temps dans l’armée. Je suis persuadé, d’ailleurs, que s’il y a autant de petits cons en France, c’est parce qu’il n’y a plus de service militaire. Se faire mettre à l’amende de temps en temps, apprendre à respecter des horaires, acquérir un peu de rigueur, cela remettrait les idées en place à certains. Je ne dis pas qu’il faut être totalement rétrograde. Nous sommes en 2013, il est sûrement possible de trouver un juste milieu. En ce qui me concerne, je suis très attaché à ces valeurs. Je trouve aberrant que certains ne les intègrent pas, ou que des parents ne soient pas capables de les inculquer à leurs enfants ”. Bé, c’est qu’il rigole pas, M Pokora. C’est pas qu’il ait tort (la vérité, on a été élevé un peu pareil et on voit bien ce qu'il veut dire), juste, il étonne un peu par sa rigidité…

Bertrand Cantat, alias Détroit : le retour compliqué

D’un chanteur, l’autre… “ Le premier extrait, “ Droit dans le soleil ”, du futur album de Bertrand Cantat, “ Horizons ”, sort lundi et il déchaîne déjà les passions, nous apprend “ Public ”. Le retour de l’ex-leader de Noir Désir, après dix ans d’absence (sous le pseudonyme de Détroit), beaucoup n’y croyaient pas. “ On ne pensait pas possible qu’il remonterait sur scène après ce qui s’est passé. Mais les enjeux financiers sont énormes ”, nous confie Stéphane Bouchet, l’auteur de “ Bertrand Cnatat-Marie Trintignant : l’amour à la mort ”. (…) La promo risque d’être compliquée. Il n’a pas le droit de parler du drame ”. Effectivement, ça s'annonce pas simple, cette affaire-là…

La sortie de “ Horizons ” avancée à cause de la Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes

“ Déjà des contestations se font entendre, indique le journal. La maison de disques a dû avancer d’une semaine la sortie de l’album initialement prévue le 25 novembre, Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes (sinistre coïncidence !) Et puis, “ c’est un acte militant de ne pas aller acheter le nouvel album de Bertrand Cantat ”, a déclaré Roselyne Bachelot, chroniqueuse sur D8. Du côté de la famille Trintignant, silence radio. (…) Quoi qu’il en soit, résume "Public", le 18 novembre, l’album “ Horizons ” sera dans les bacs. Un opus dans lequel le chanteur évoquera, pour la première fois, ses années de prison. Sa maison de disques a d’ores et déjà provisionné une somme d’argent en cas de procès ”. Qui a dit que la musique adoucissait les mœurs ?

Quand Sylvie Vartan revisite le mythe Johnny

Musique encore, musique toujours… et petit règlement de compte, aussi — ou plutôt, petite mise au point qui, sous des dehors policés, n’en demeure pas moins musclée… Interviewée dans “ Gala ” à propos des “ hommes de sa vie ”, Sylvie Vartan revisite le mythe “ Johnny/Sylvie ” à sa façon… “ On s’est rencontrés plusieurs fois sans qu’il ne se passe rien, dit la chanteuse à propos des débuts de leur idylle. Il n’y a pas eu de coup de foudre — d’autant que j’étais très amoureuse ailleurs (de qui ? Elle ne le dit pas, ahaa !). Pourquoi lui ? reprend-elle. On était jeunes, on faisait le même métier, il était sensible, timide, moi, venant d’une famille très unie, très aimante, son côté chien perdu sans collier me touchait. Et puis il était très beau ”. Wow ! Ecorché vif, paumé, mais beau cul, belle gueule… comme elle t’a redescendu le dieu Johnny au sous-sol, la Sylvie ! C’est pas fini...

Johnny ? “ Un moment fort de ma vie ”…

“ Nous sommes restés dix-sept ans ensemble, poursuit-elle. J’ai davantage souffert de nos séparations, de sa nature instable, de le voir souvent malheureux, que de ses infidélités. Les filles de passage n’étaient que des filles de passage. Cela n’avait pas grande importance… En même temps, la mémoire réécrit parfois l’histoire, peut-être n’était-ce pas l’exact reflet de la réalité d’alors… Cela reste un moment fort de ma vie ”. “ Un moment fort de (sa) vie ”… pas le plus fort, ni le plus marquant, donc. Et Sylvie de relever, au passage, mine de rien, les infidélités du bougre qui, dit-elle, l’ont moins fait souffrir que son “ instabilité ”… L’a décidé de déboulonner entièrement la statue ou quoi ?

Tony Scotti, vrai “ modèle masculin ” de David Halliday, dixit Sylvie

Ca y ressemble, ça y ressemble… parce qu’après le chapitre “ mari ”, Sylvie aborde le chapitre “ papa ”, et là… “ (David), dit-elle à “ Gala ”, c’est l’homme désiré. Je l’ai voulu, je l’ai même rêvé… et il a exaucé tous mes vœux ! (…) Quand je me suis retrouvée seule avec lui, je voulais à tout prix éviter le piège d’une relation étouffante mère-fils. Je suis naturellement possessive avec les gens que j’aime, mais j’avais conscience qu’il fallait un modèle masculin pour qu’il puisse se construire en tant qu’homme. Si son père voulait le voir, il le voyait, mais ce n’était pas très souvent. Il avait quatorze ans quand Tony est entré dans notre vie et, à partir de là, mon fils a pu compter sur un homme au quotidien ”. Un homme, UN VRAI, quoi. C’est un peu le message que Sylvie semble vouloir nous faire passer, on dirait. C’est encore pas fini… Bah, ça va, là, ça suffit, le montage en crème Chantilly ! Bé, zêtes gentils, mais l’a pas fini de parler, la Sylvie…

Et pourquoi Sylvie en veut si fort à Johnny ?

Antantion, chaud devant ! Vous vous demandiez pourquoi la douce Sylvie avait soudain sorti les crocs et démonté la tête et le reste à Johnny ? La réponse est toute simple : Sylvie est une mère, et Johnny n’a pas été un bon père — pire, il s’en est pris à leur fils. “ Je n’ai pas lu le livre de Johnny, dit la chanteuse, on m’a juste rapporté certains passages concernant notre fils (dans son autobiographie, le rocker disait que le problème de David est qu’il n’en a pas eu justement, et ne pas croire aux fils à papa qui réussissent, ndlr — voir la RP du 7 février). Evidemment, il peut en penser ce qu’il veut, moi, je sais où est la vérité, c’est ce qui compte. Mon fils a une très grande sagesse et sa force m’étonne. Je pense qu’il a certainement souffert de ma séparation d’avec son père, mais il a eu avec Tony un modèle fort, droit, qui l’a protégé, l’a aidé à se construire ”. Contrairement à Johnny, encore une fois. Hou, pour du démontage, c’est du démontage ! Historique, même, limite… C’est quand même pas tous les jours que Sylvie Vartan éparpille le mythe Johnny Halliday, par petits bouts, façon puzzle.

Lily Allen, Kim Kardashian face à Bruce Sprinsteen : histoires de corps

Un peu de joyeuses nouvelles — réconfortantes, apaisantes, hmm ? Oh oui ! Après tout ce qu’on s’est avalé, on l’a bien mérité… A l’heure où “ Voici ” et “ Public ” ricanent devant l’embonpoint — le laisser-aller ? — de Lily Allen (c'est vrai que c'est pas beau à voir mais p… laissez-lui le temps de reprendre le dessus ! Elle est jeune, elle s’est pris un méga-succès trop vite, trop tôt, l’a le temps…), tandis que Kim Kardashian essaie de devenir chic sans y arriver (elle “ ressemble à Bernadette Chirac ”, nous dit “ Voici ”) —, on a littéralement halluciné devant la photo (dans “ Voici ”, toujours) de Bruce Springsteen sur la plage en maillot. Mes amies les filles, sérieux, et sans blaguer : “ à 64 ans ”, le "Boss" est beau comme un dieu — c’est simple : il est beau comme le péché. Et quand on dit ça, c’est pas pour faire genre : juste, on est restée bloquée. Mon Dieu que c’est beau, un homme... (hé, Raoul, flippe pas ! T’es beau aussi, Bronzage mis à part, tu lui ressembles, même, tiens). Mais, mais, mais… — avisss à mes amis homos ! — il y a aussi Boy George. Qui ça ? Boy George — “ Do you really want to hurt me, do you really want to make me cry ? ”, c’est bon, ça va, vous l’avez, là ? Ah oui… et alors, qu’est-ce qui lui arrive, à la momie ?

Boy George : la méga-giga — et beautiful métamorphose

Une résurrection. Sans rire. En voyant la photo dans “ Voici ”, on s’y est repris à trois fois. C’est lui, c’est pas lui, c’est lui, c’est pas lui, c’est lui, c’est pas lui ? Ah ben, visiblement, on dirait bien que c’est lui. Et… ? Ben, il est maxi, étonnamment, incroyablement beau, Boy George ! “ C’est difficile à croire, commente le people. Et pourtant, le gros machin rigolard et bariolé qu’on connaît depuis tant d’années est bien le même homme que le quinquagénaire mince et, oserait-on dire… sexy ? qu’on a vu apparaître lors d’une soirée organisée à Londres par le cuisinier Jamie Oliver. Ce n’est plus un régime, ce n’est plus une transformation, c’est un phénomène surnaturel. Le mouton à cinq pattes et le lapin-garoup peuvent aller se coucher ”. Ils peuvent, oui. Sérieux, si vous pouvez : filez mater le nouveau Boy George. Avec ses yeux bleus très clairs, sa petite moustache, sa petite barbe taillée comme il faut, et son faux air de mousquetaire — coquin, visiblement épanoui, heureux —, il est juste à croquer. Grrmphhhh !

La Fondation Chirac menacée d’extinction

Et si on passait à des choses plus graves ? Bah, encore — pfiouuuu ! — zêtes sans pitié, vous. Bé, c’est l’actualité qui commande, en même temps, on choisit pas, hé ? “ La Fondation Chirac, que l’on pensait à l’abri du besoin pour plusieurs générations tant ses parrains sont fortunés, traverse des turbulences financières qui risquent de la faire disparaître, nous informe “ VSD ”. Avant l’été, faute de trésorerie suffisante, la fondation “ Agir au service de la paix ” a dû quitter ses locaux de la rue d’Anjou, dans le 8e arrondissement, un des quartiers les plus chics de Paris ”. A deux minutes de l’Elysée, c’est vrai. “ En entrant au conseil d’administration le 23 janvier dernier, Claude Chirac, la fille et fidèle collaboratrice de l’ancien président, découvre une situation financière catastrophique, rapporte l’hebdo. Les caisses sont vides, les programmes d’action en jachère, et les donations, en diminution constante. Le déclin physique de Jacques Chirac a empêché sa fondation de rayonner comme il l’espérait ”. Triste constat.

A la Fondation, il ne reste plus qu’un employé, qui travaille chez lui

Au “ déclin physique de Jacques Chirac ”, viennent s’ajouter d’autres facteurs passablement “ aggravants ”. “ Mise sous tutelle, Liliane Bettencourt n’a plus signé de chèques, explique en effet “ VSD ”. La Caisse des dépôts a dû réduire de 50 % son obole. De 600 000 euros à l’origine, le budget d’Agir au service de la paix est réduit de moitié. Au printemps, Claude a dû licencier trois collaborateurs permanents de son père. Aujourd’hui, seul le chargé de mission Marc-Antoine Jasson est encore salarié de la fondation. Mais, n’ayant plus de bureau, il travaille chez lui, assurant : “ Cette situation est provisoire. Nous devrions retrouver des locaux en 2014. Comme partout dans le milieu associatif, nous avons dû faire face à une baisse de nos ressources ” ”.

Sollicitée, Bernadette Chirac aurait refusé de renflouer la fondation de son mari

“ Inquiets de la disparition programmée de l’institution chargée de perpétuer l’héritage politique de leur chef historique, poursuit le mag, les derniers amis de Jacques Chirac encouragent Bernadette — qui dispose de fonds considérables via sa propre fondation, Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France —à mettre la main à la poche. Mais, selon des proches du couple, l’ex-première dame n’a pas l’intention de lever le petit doigt ”. Même si on imagine bien qu’il est difficile de faire circuler des fonds d’une fondation à l’autre, on ne peut s’empêcher de penser que tout cela manque un peu de la part de l’épouse de l’ex-président de, comment dire ?… sollicitude ? Bernadette refusant d’aider à perpétuer la mémoire de son mari — si tant est que les faits rapportés soient vrais —, c’est un peu moche, non ? Hou, ça mérite des éclaircissements ! Qu’on aura peut-être un jour, ou pas.

Vous en voulez encore ?

Si les extraits du livre de Rama Yade que nous avons repris dans la RP des hebdos jeudi vous ont titillé, jetez un œil à l’interview qu’elle donne dans “ Elle ” ce samedi — en particulier quand elle parle de sa relation à Nicolas Sarkozy. C’est assez titillant… Non, non, on ne dira rien de plus, tsssss…

Dans "Elle", toujours, et même si on a parfois l'impression de relire des choses qu'on a déjà lues (sur sa mère et son père, notamment), on vous recommande la lecture de l'interview de Karl Lagerfeld — parce que, y a pas à dire, le Maître reste le Maître : difficile de faire plus chic, habile, percutant et subtil. Enervant, insupportable, le Karl ? A le lire, à l'entendre — et l'écouter —, pas franchement. Il serait même attendrissant, tant il semble revenu de tout et surtout de lui et de la comédie des apparences à laquelle il se prête, conscient et lucide, dans un suprême geste d'élégance.

Plus sérieux : on a littéralement été scotché par le papier que “ Grazia ” consacre à Dieudonné et aux adeptes de “ la quenelle ” — genre de “ Heil, Hitler ” revisité… — que le moins drôle des humoristes a lancé. Si vous avez du temps, please, lisez cet article. C’est effrayant.

Histoire de pas finir sur une note sinistre, petit carnet des amours qui vont, qui viennent : d’après “ Voici ” et “ Public ”, Miley Cyrus, plaquée par Liam Hemsworth (qui a trouvé refuge dans les bras d’une charmante mexicaine prénommée Eiza Gonzales), s’est, ni une, ni deux, trouvé un nouveau fiancé en la personne du producteur de hip-hop Mike Will. Et… Robert Pattinson, le Rob en personne, fraierait avec sa coach sportive. “ Avec Kristen Stewart, note “ Voici ”, c’est fini de chez fini ”. Enfin, une bonne nouvelle ! Bon week-end, les lapins, aimez-vous bien — et mieux qu’eux, hein ? On sait : c’est pas facile. C’est pas une raison pour pas essayer (note à moi-même et à vous). Avec ou sans les mains en cœur, “ love, love ”, comme dirait ma copine Olivia.

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