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Un macaque a retrouvé le contrôle de son bras paralysé.
Un macaque a retrouvé le contrôle de son bras paralysé.
©Reuters

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Et aussi : Hémophilie : que peuvent espérer les patients ? Antibiotiques : même une faible dose induit la résistance bactérienne ; le Médiator aurait tué jusqu’à 1.800 personnes à long terme.

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Hémophilie : que peuvent espérer les patients ?

En cette Journée mondiale de l'hémophilie, reprenons l'entretien que nous avait accordé Catherine Costa, généticienne moléculaire à l'hôpital Henri Mondor de Créteil. Elle expliquait à Futura-Sciences dans quelles directions se dirige la recherche sur cette maladie du sang.

Un problème de coagulation. Ou plus précisément un déficit dans la synthèse d’un des nombreux facteurs de la coagulation sanguine. Voici ce qui cause l’hémophilie, maladie génétique qui affecte environ 6.000 Français, dont la moitié souffre d’une forme sévère. Lorsque la paroi d’un vaisseau sanguin vient à rompre, les mécanismes censés limiter la perte de liquide, qu’on appelle la coagulation, sont bien plus longs à se mettre en place. Tant que la blessure est superficielle, pas de raison de paniquer, mais pour une hémorragie plus importante, il faut agir.

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Un singe retrouve le contrôle de son bras paralysé

Alors qu’il n’existe encore aucun moyen de redonner aux personnes paralysées toute la mobilité de leurs membres, les chercheurs travaillent sur différentes solutions curatives. La dernière en date : rebrancher directement le cerveau à la moelle épinière plutôt qu’aux muscles, pour redonner à un membre sa facilité de mouvement d’antan. Une technique efficace chez un macaque.

Face à la paralysie, la recherche s’organise. Quand certains tentent de calibrer un exosquelette pour récupérer la motricité des membres supérieurs, d’autres envisagent les neuroprothèses, afin de transformer l’activité cérébrale directement en message électrique pour les muscles. Chacune dispose de ses avantages et ses inconvénients.

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Antibiotiques : même une faible dose induit la résistance bactérienne

Alors qu’on accuse les antibiotiques, quand ils sont utilisés à outrance, d’être responsables du développement de la résistance bactérienne, une étude montre que même de faibles doses peuvent favoriser son émergence. Des médicaments à employer avec la plus grande parcimonie.

Véritable impasse thérapeutique, l’émergence de bactéries multirésistantes aux antibiotiques est un phénomène qui rend le succès du traitement des infections de plus en plus aléatoire. C’est particulièrement le cas en milieu hospitalier, où des bactéries multirésistantes sont impliquées dans les infections nosocomiales.

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Science décalée : à bas les soutiens-gorges !

Une étude menée sur 15 années semble montrer que les soutiens-gorges ne sont pas aussi utiles qu’on nous l’a fait croire, pour lutter contre le mal de dos ou favoriser la posture. Bien au contraire précise Jean-Denis Rouillon, le médecin du sport français à l’origine de ce travail.

Des générations de femmes dans l’erreur ? Depuis l’Antiquité, les soutiens-gorges, ou des vêtements jouant la même fonction existent. Leurs objectifs sont multiples : éviter que les seins ne tombent, lutter contre les maux de dos ou favoriser une posture bien droite. Pourtant, ces sous-vêtements seraient « une fausse nécessité » pour Jean-Denis Rouillon, médecin du sport au CHU de Besançon et professeur à l’université de Franche-Comté.

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En bref : le Médiator aurait tué jusqu’à 1.800 personnes à long terme

Le Médiator, médicament tristement célèbre des laboratoires Servier, serait responsable de la mort de 1.300 à 1.800 personnes par valvulopathie sur le long terme et jusqu’à 4.200 hospitalisations, selon les estimations d’experts.

Deux ans et demi après le scandale du Médiator, le médicament des laboratoires Servier est toujours sous le feu des projecteurs. En effet, trois experts mandatés par les juges d’instruction chargé de l’affaire viennent de livrer au tribunal de grande instance de Paris un rapport de 700 pages, basé sur 664 publications scientifiques, tentant de faire la lumière sur la nature exacte du médicament et du nombre de victimes qu’il a pu causer.

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