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Laeticia Hallyday se dévoile, Sh'ym se dénude, le prince Harry peut aller se rhabiller et Giulia Sarkozy revêt sa robe de baptême
©DR

Revue de presse people

Mais aussi : les confessions de Mme Zlatan, Laurent Delahousse sans son chech et des révélations sur "l'incroyable famille Kardashian" : Kris Jenner, la mère, aurait été un vrai bourreau avec ses enfants.

Astrid Eliard

Astrid Eliard

Astrid Eliard est journaliste et écrivain. Elle est auteur de Nuits de noces, et de Déjà l’automne (Mercure de France).

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Scoop ! Après quatre ans de silence médiatique, Laeticia Hallyday donne une interview à Paris-Match. Elle raconte tout, même le plus intime, et c’en est presque confondant. « Jai choisi de moins m’exposer dans la presse, dit-elle. Je préfère m’adresser aux gens via Twitter ou Instagram. C’est un lien plus direct ». Laeticia aspire à la transparence, elle veut se montrer telle qu’elle est. Du coup, il n’y a plus de frontière entre elle et la journaliste Anne-Cécile Beaudoin. Et nous, lecteurs, on a l’impression de s’inviter dans une conversation entre copines. Déjà, des nouvelles de la famille : Johnny est « plus en forme que jamais ! », « Jade est une " vieille âme ", très profonde, entière et loyale » et Joy une « show girl ».  Ensuite, des confessions sur son passé. Elle raconte comment elle a sombré dans l’anorexie, adolescente, juste après s’est rendue au chevet de son père en pleine phase suicidaire.

Comment elle a sauvé la vie de Johnny

Garde-malade, Laeticia a ça dans le sang. Elle revient sur l’opération périlleuse qu’a subie Johnny en 2009 : « Sa vie était entre mes mains. J’ai donc accepté qu’il soit plongé dans [un] coma artificiel entre chaque opération chirurgicale. Autour, le monde commençait à s’affoler. Ça a été l’assaut. La presse, qui faisait son travail avec plus ou moins d’élégance. Et puis les autres, ceux que l’on croit être des amis et qui s’emparent de votre tragédie pour servir leurs propres intérêts. Moi, je me battais pour sauver mon mari ». L’épouse courage confesse avoir le don de soi en elle, quitte à souvent s’oublier… Le coma de Johnny l’a rendue insomniaque à force de trop le veiller. Elle raconte sa stérilité, et, pour la première fois, ses fausses couches. « J’ai été enceinte plusieurs fois. J’ai perdu mon dernier enfant à 4 mois et demi de grossesse. C’était au moment où nous allions accueillir Jade. Personne n’en a rien su. » Plus loin, elle se dépeint en mère possessive… et épouse trompée : « Quand Jade est arrivée, j’ai oublié ma vie de femme pendant trois ans. Seule ma fille comptait. Je dormais avec elle, je restais contre elle 24 heures sur 24, je ne faisais plus attention à moi et à mon mari. Il m’a trompée. Ça m’a mis une sacrée claque ! »

Zlatan, cherchez la femme...

Une autre « femme de » se dévoile dans ELLE. Elle est sympathique, ne pratique pas plus la langue de bois qu’elle ne cultive le mystère : c’est Madame Zlatan, de son vrai nom Helena Seger. Petite, blonde, drôle, accessible, capable de s’extasier devant le rayon yaourts de Carrefour, c’est l’anti-Victoria Beckham. Bourgeoise, bien élevée, de onze ans l’aînée de Zlatan, qu’est-ce qui a bien pu lui plaire chez ce géant tatoué (à l’époque de leur rencontre, il n’était qu’un géant tatoué) ? « Il est tellement drôle ! » s’exclame-t-elle avant d’ajouter : « Question bonnes manières, j’ai encore du boulot. »

Alors qu’elle dément tous les ragots qu’on lit et entend partout : elle n’a jamais été top model, ils ne se sont pas installés à Versailles - on ne saura pas où – elle confirme une anecdote déroutante : elle est convaincue qu’au début de leur histoire, Zlatan a laissé sa bande de potes cambrioler sa maison. « Aujourd’hui, le joueur nie toujours savoir qui a fait le coup, mais Helena n’en démord pas : "Bien sûr qu’il le sait. Et, si je suis restée toutes ces années, c’est pour qu’il l’avoue, enfin. Je veux récupérer ma sono et mes ordinateurs, et je finirai par y arriver ! " ». Entre eux, zlatenera bien qui zlatanera le dernier.

Florence Cassez, nouvelle recrue chez les people

Dans la catégorie « femmes de », nous retrouvons une « ex » : Anne Sinclair. Elle fait la Unede Gala, qui nous la présente heureuse, épanouie au Huffington Post dont elle a pris les manettes, enfin libre des frasques de DSK, prête à épouser l’avenir et blablabla. Mais si on creuse, les sources de l’article sont bien maigres : un papier dans le Parisien paru en septembre dernier, une photo de la remise du Prix Françoise Giroud le 17 janvier… Alors, heureuse Anne Sinclair ? Ben en fait, on n’en sait rien. En revanche, cette semaine, on nous détaille en long, en large et en travers, le nouveau bonheur de Florence Cassez. Elle est partout : dans VSD, Gala, Grazia, Paris-Match, Public. Si c’est pas un adoubement people, ça ! Marion Cotillard loue sa sagesse et sa force (Closer), et on la voit se faire embrasser à pleine joue par Mélissa Theuriau (Public). Mais il faut lire Paris-Match, où elle donne une longue interview, pour voir un peu plus loin sur l’affaire Cassez. A Emilie Blachère, elle raconte son quotidien en prison : la saleté, la violence, la drogue : « Tous les jours, il y avait des bagarres. Les filles se frappaient, s’acharnaient les unes contre les autres. Les nez cassés, les coquarts, c’était la routine. Il fallait quatre gardes pour maîtriser une prisonnière en manque. Il y avait aussi beaucoup de suicides… » Enfin, elle se défend bien d’être la nouvelle Ingrid Betancourt, et dissipe le malentendu qu’ont fabriqué les médias : « Je suis simplement victime d’une erreur judiciaire au Mexique. J’en ai conscience, je ne prétends pas être plus, ni avoir fait plus. »

Sh’ym, reine du marketing people

C’est dur d’être une starlette, on est si vite oublié… Alors, il faut occuper la place, coûte que coûte. Nabilla et Ayem ont peut-être cru gagner leurs galons de star en faisant un scandale à bord d’un avion qui les emmenait, non pas à Los Angeles, mais à Bordeaux. L’objet du litige ? Un ridicule petit chihuahua que Nabilla a refusé de « ranger » dans un sac. Le scandale a fait pschitt et les deux bimbos ont été débarquées de l’avion. Enfin… elles n’ont pas tout perdu puisqu’elles ont une page dans Closer. Cette semaine, la palme de la starlette la plus subversive, la plus punk, la plus « grrrrr » terrible ! revient à Sh’ym. Que ne ferait-elle pas pour se faire remarquer ? 1) Elle soigne sa tenue : Public décrypte pour nous son look « tout apparent ». 2) Elle publie sur Twitter la photo d’un dos de femme lacéré – genre publicité contre les violences conjugales – avec la mention : « Good sex. » C’est élégant, raffiné et de bon goût, mais a ça a eu le mérite d’affoler la toile (à lire dans Closer). 3) Elle embrasse sur la bouche une de ses danseuses sur la scène des NRJ Music Awards, la veille de la manif pour le mariage pour tous. Waouh, quel manifeste ! Et surtout quelle audace ! Madonna n’a qu’à bien se tenir… D’ailleurs VSD balance : Sh’ym n’a même pas mis la langue.

L’incroyable enfance de Kim Kardashian

Décédé en 2003, Robert Kardashian, le père de Kourtney, Kim, Khloé et Robert Jr, a laissé une bombe en fait de testament : son journal intime, qui contient de terribles accusations sur la mère de ses enfants. Révélées par le magazine In Touch, Voici en donne un aperçu. En 1989, Kim avait neuf ans, Rob écrivait : « Kris donnait des coups de pied à Kim, elle la frappait, et lui disait qu’elle allait la tuer. Kim était hystérique. » Kim dément, Kris aussi, qui a déclaré via Twitter que c’était un coup de la veuve de Robert pour se faire de l’argent. Classe.

Dirty Harry

Une fois n’est pas coutume, le prince Harry vole cette semaine la vedette à son frère William. A ce propos, juste une petite parenthèse sur la grossesse de Kate : la duchesse de Cambridge, qui compte les calories à chaque repas, est toujours mince comme un fil, et ça inquiète beaucoup le futur papa, lit-on dans Public. Bon, mais revenons à Harry. Depuis qu’il a comparé la guerre en Afghanistan à un jeu vidéo, la presse people se penche sur son cas : est-il vraiment stupide ? Public laisse croire qu’il est pire que ça, en publiant une de ses déclarations sur sa sortie coquine à Las Vegas : « Je n’ai pas été à la hauteur, j’ai déçu ma famille et d’autres personnes… Mais cependant, j’étais dans un espace privé et un certain niveau d’intimité aurait dû être respecté. » Paris-Match se montre plus nuancé, rappelle notamment qu’Harry a toujours été le marginal de la famille, le vilain petit canard aussi : «  le garnement a subi, à 10 ans, un test ADN à son insu, pour prouver qu’il était bien le fils de son père et non de l’amant de sa mère, James Hewitt. De quoi en démolir plus d’un… » Pour l’auteur de l’article, « Harry est populaire parce que proche du peuple », et pour cadrer avec ce tempérament : « il singe le soldat bas du front ». Gala, en revanche, ne tarit pas d’éloges à l’égard du prince-soldat : simple, généreux « prévenant avec le beau sexe », poli ! – « après une invitation, il n’omet jamais d’envoyer une lettre de remerciements ». Et est-ce qu’il rabat bien la lunette des toilettes ? Côté défauts, l’article concède qu’il est peut-être « un brin immature », « hypersensible aux charmes féminins » (comprenez pas très fidèle), « fêtard » et « imprudent ». On se demande alors : mais pourquoi sauver le soldat Harry ?

Giulia Sarkozy, un baptême dans l’intimité

Sinon, Voici était au baptême de Giulia Sarkozy, qui avait revêtue une belle robe blanche pour l’occasion. Elle a, dit-on, été d’une sagesse exemplaire. La cérémonie s’est déroulée en l’église Saint-Pierre-de-Chaillot dans le XVIème, en compagnie des parrain et marraine : Pierre Sarkozy et Consuelo Remmert, la demi-sœur de Carla. La famille et rien que la famille ! En revanche, les people – Jacques Séguéla, Dominique Desseigne, Didier Barbelivien… - se sont pressés, quelques jours au plus tard, aux cinquante-huit ans de l’ancien président, qui a été archi gâté. Le sprinter italien Mario Cipollini lui a offert un de ses vélos…

A lire aussi…

La déclaration d’amour de Closer à Laurent Delahousse, qu’on voit jouer dans les eaux turquoise de Thaïlande comme une nymphette. Il est beau, il est fidèle à sa femme – un peu maniaque avec les vêtements et la mode, certes -, il cuisine comme un chef, il a un tic trop sexy avec ses lunettes… et on en passe. Dans VSD, on vous conseille le portrait d’un autre « beau gosse » : Georg Gänswein, l’Italie en est folle, Donatella Versace lui a dédié une collection, mais… il est archevêque, et secrétaire particulier de Benoît XVI. Dans VSD toujours, Philippe Sollers fait brillamment avancer le débat sur le mariage pour tous : « Tout ça est à mourir de rire, pathétique et effrayant. Imaginez un petit garçon avec deux mères. Si le petit est malin, peut-être réussira-t-il à les jouer l’une contre l’autre et même arrivera-t-il à séduire l’une d’elles ! Et la ramènera à l’hétérosexualité ! » Bon sang, mais qu’est-ce qu’il a fumé ?

Enfin, réjouissons-nous, les Brangelina de demain, le couple le plus glam du moment vient s’installer à Paris : Benjamin Millepieds, qui vient d’être nommé directeur de la Danseà l’Opéra, et Natalie Portman, lit-on dans Public

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