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Parcourir 120 km au-dessus de l’eau avec un avion à pédales, les artères d’autruche : l’avenir du pontage chez l’Homme ?
©Reuters

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Mais aussi la théorie du Big Bang confirmée par une nouvelle preuve venue des quasars, des inversions magnétiques tracées grâce aux rayons cosmiques...

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Gokuraku Tombo, l’avion à pédales pour un record du monde

Parcourir 120 km au-dessus de l’eau avec un avion à pédales : c’est ce que veut réaliser une équipe de Japonais acharnés qui peaufinent leur Gokuraku Tombo depuis plusieurs années pour battre un record vieux d’un quart de siècle.

Au printemps, affirme l’équipe Aeroscepsy, un cycliste spécialiste de mountain bike affrontera… l’Océan. Il pédalera dans le cockpit du Gokuraku Tombo, un engin fait de polystyrène et de fibre de carbone, imposant par son envergure de 35,6 m (plus large que celle d’un Airbus A320) mais n’accusant que 37 kg sur la balance. L’objectif est de battre le record du vol musculaire qui tient depuis le 23 avril 1988.

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Les artères d’autruche, l’avenir du pontage chez l’Homme ?

Longues, fines et dotées naturellement d’agents anticoagulants : les artères d’autruches figurent parmi les candidats les plus intéressants pour les transplantations de vaisseaux sanguins en cas de pontage. Pour la première fois, l’opération a été réalisée avec succès sur un animal à taille humaine : le porc.

Quand un vaisseau sanguin vient à se boucher, du fait d’une plaque d’athérome par exemple, il n’y a parfois pas d’autre solution que de le remplacer. Le chirurgien pratique alors un pontage et dérive la circulation humaine avant l’obstruction pour la faire reprendre plus loin à l’aide d’une artère récupérée dans une autre région du corps du patient.

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Big Bang : une nouvelle preuve venue des quasars

En utilisant la lumière du plus ancien quasar connu, un groupe d’astrophysiciens a pu confirmer qu'environ 700 millions d’années après le Big Bang, la matière présente autour de lui n’était pas encore enrichie en éléments plus lourds que l’hélium. C’est une preuve de plus, s’il en fallait, en faveur du modèle cosmologique standard.

Il est difficile de comprendre pourquoi il existe encore des opposants à la théorie du Big Bang. Certes, le fait que l’on ignore toujours la nature exacte de la matière noire et de l’énergie noire peut laisser mal à l’aise et inciter à la prudence sur certaines conséquences que l’on peut tirer du modèle cosmologique standard. Mais dans les grandes lignes, il semble impossible de vraiment douter que l’univers observable (qui n’est pas la totalité de l’espace-temps et de la matière existante) était plus petit, plus chaud et bien moins organisé voilà environ 13,7 milliards d’années.

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Des inversions magnétiques tracées grâce aux rayons cosmiques

Il y a 41.000 ans, notre planète s'est trouvée exposée à un intense flux de rayons cosmiques lors d'une inversion magnétique, baptisée « l'excursion de Laschamp ». En mesurant les concentrations d'un isotope radioactif du béryllium dans des couches sédimentaires, un groupe de chercheurs français vient de retrouver la trace de cet épisode. De quoi nous éclairer sur les phénomènes magnétiques à l'œuvre dans le noyau de la Terre.

On connaissait l’existence des inversions du champ magnétique de la Terre depuis les travaux de Bernard Brunhes sur des roches volcaniques au début du XXe siècle. Mais il a fallu attendre que Victor Vacquier invente le magnétomètre à saturation de flux, ou « fluxgate », et s’en serve, avec d’autres, pour cartographier le champ magnétique dans l’océan Pacifique pour que l’on découvre ces inversions enregistrées dans les laves du fond des océans pendant les années 1950. Au début, des années 1960, le lien fut fait entre ces enregistrements et la théorie de la dérive des continents d’Alfred Wegener.

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Les antibiotiques, une nourriture pour les bactéries ?

Des bactéries du sol ont trouvé comment joindre l’utile à l’agréable. Plutôt que de dégrader simplement des antibiotiques pouvant leur causer du tort, elles les mangent ! La sulfaméthazine et la tylosine seraient particulièrement appréciées.

Les animaux de production sont souvent élevés en groupe de nos jours, ce qui favorise la transmission d’infections bactériennes dommageables pour l’exploitant. Afin de réduire ce risque, de nombreux éleveurs administrent préventivement des antibiotiques à leurs animaux, même s’ils sont sains. Or, ces substances sont en grande partie excrétées dans les fèces. Elles se retrouvent donc dans le fumier puis, à l’occasion, épandues sur de nombreux champs.

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