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Une équipe a développé une interface neuronale directe qui permet de contrôler un robot humanoïde par la pensée.
Une équipe a développé une interface neuronale directe qui permet de contrôler un robot humanoïde par la pensée.
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Et aussi : du nouveau sur l'énigme de la densité du noyau de la Terre, et les pallasites, ces possibles morceaux de coeur de planètes.

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Nouvelle avancée dans le contrôle de robots par la pensée

Une équipe associant le CNRS au National Institute of Advanced Industrial Science and Technology japonais a développé une interface neuronale directe qui permet de contrôler un robot humanoïde par la pensée pour exécuter différentes variétés d’actions. Le professeur Abderrahmane Kheddar, directeur de recherche au CNRS, a répondu aux questions de Futura-Sciences.

Les chercheurs travaillent depuis longtemps sur le contrôle par la pensée d’avatars virtuels ou de robots via ce que l’on appelle une interface neuronale directe ou brain computer interface (BCI). En analysant l’activité électrique émise par le cerveau humain via un casque EEG (électroencéphalographie), il est possible de dégager des modèles neuronaux, liés à certaines actions, qui peuvent être exploités pour transmettre une intention à un ordinateur et exécuter une tâche.

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Un vélo à boîte de vitesse automatique pilotée par un smartphone

Un prototype de boîte de vitesse automatique gérée par un smartphone a été testé avec succès sur un vélo de route. Le mobile détermine le bon plateau et le bon pignon régler pour offrir au cycliste les meilleurs rendements et confort possibles. Cambridge Consultants, qui a développé ce système, a répondu aux questions de Futura-Sciences.

Sur un vélo, la transmission se compose invariablement d’un dérailleur avant et d’un dérailleur arrière que l’on actionne à l’aide de gâchettes ou de poignées tournantes placées sur le guidon. Trouver le bon braquet est difficile, car il faut sélectionner le meilleur rapport entre le plateau avant et le pignon arrière pour que le pédalage soit le plus efficace possible tout en restant aisé. Un casse-tête que l’on rencontre notamment lorsqu’on attaque une montée ou lorsqu’on s’arrête et qu’il faut repartir. Les changements de vitesse intempestifs occasionnent alors des craquements et autres bruits métalliques peu rassurants dans la transmission. On se retrouve à « mouliner », ou au contraire à se mettre debout sur les pédales pour forcer.

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Du nouveau sur l'énigme de la densité du noyau de la Terre

La formation de la Terre n'a pas livré tous ses secrets, en particulier sur la différenciation qui a conduit à la formation de son noyau ferreux. En utilisant la mécanique quantique, on vient de préciser la composition de ce noyau. Il pourrait être le plus grand réservoir en carbone de la Terre.

Le noyau de la Terre est fascinant à plus d’un titre pour un géophysicien, un géochimiste ou un spécialiste de la matière condensée. Il a été découvert en 1906 grâce aux progrès de la sismologie du début du XXe siècle, par Richard Dixon Oldham. La Danoise Inge Lehman précisera sa structure une première fois en 1936, en démontrant qu’à l’intérieur du noyau (que l’on pensait alors liquide et dont le diamètre est de 7.000 km) se trouve aussi une zone sphérique solide de 1.400 km de diamètre. Cette partie s’appelle la graine.

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Les pallasites, des morceaux de coeur de planètes ?

Représentant seulement 1 % des météorites tombant sur Terre, les pallasites fascinent par leur beauté. On pensait qu’elles provenaient de l’interface manteau-noyau de petites différenciées détruites par des collisions. Il n’en serait rien, d’après une étude récente.

Avec des fragments d’Allende, les pallasites sont certainement parmi les météorites que tout collectionneur se doit de posséder. Il est difficile de résister à la fascination d’une coupe de ces météorites où de beaux cristaux d’olivine de couleur jaune-vert (souvent transparents) « flottent » dans un alliage fer-nickel, qu’elles partagent avec les sidérites, sans être en contact les uns avec les autres.

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