George Clooney seul avec un ami, Gad Elmaleh en famille avec les Grimaldi, Harry d’Angleterre mauvaise affaire

Houlà, houlà ! Mais qu’est-ce que c’est que ça ? George Clooney avec… un homme !? Ben, oui, et dans Voici, les amis. Alors, ayé, le grand moment de l’outing est arrivé ? Caaalme, respirez — y’a pas que ça, zallez voir…—, alors, autant ventiler un peu et pas trop vous affoler. Làààà, ça va mieux ? Allez, on y va.

George et "un ami", en duo, s’il vous plaît

"Transats en double", c’est le titre de la brève (car il s’agit d’une brève) qui accompagne la photo du coco bello sur la plage avec… un ami — assez beau, lui aussi, faut avouer. "Le beau George, en été, sans une créature de rêve à ses côtés, on n’avait pas vu ça depuis longtemps", commence le people, sourire en coin. Après un tour de Corse à moto avec Rande Gerber (l’heureux époux de Cindy Crawford), et avant de prendre un hélico pour le lac de Côme, il profite d’un moment de calme entre hommes sur la plage privée d’un hôtel de Porto-Vecchio. Ne pas séduire, conclut Voici, voilà les vraies vacances." Bon, vous allez dire qu’on a l’esprit mal tourné : l’a bien droit à des vacances avec des potes, Giorgio, après tout. D’autant que ça arrive à peu près tous les étés. Reste… reste qu’en général, il s’arrange toujours pour apparaître en bande. En duo, ça, c’est assez nouveau… alors, est-ce qu’on se monte le chignon ? A vous de voir, hmm…

Gad Elmaleh "en famille" avec les Grimaldi

Il a fait escale en Corse, lui aussi, et son passage à Bonifacio est loin d’être passé inaperçu. Qui ça ? Gad Elmaleh. Avec qui ? Charlotte Casiraghi ! Ah, tiens, malgré tous les démentis qu’on nous a servis l’an dernier, elle est donc pas finie, la belle idylle de Chouchou et de Chacha… A en juger par les clichés que Paris-Match publie de l’acteur, barreau de chaise à la bouche, sur le yacht des Grimaldi, elle serait même sacrément installée… "Dans la chaleur estivale, l’héritière et l’humoriste ont fait coïncider leurs agendas pour une escapade à bord du (…) Pacha III, nous explique l’hebdo. Ils ont retrouvé Caroline et le reste de la fratrie. Cinq jours de croisière dédiés au farniente. (…) C’est un rituel immuable. Chaque été, Caroline embarque à bord (de) son magnifique yacht vintage de 36 mètres, pour une virée en Méditerranée. (…) Chaque été, les enfants de Caroline la rejoignent pour quelques jours, le plus souvent accompagnés d’intimes, parfois d’invités. C’est l’un des rares moments de l’année où le clan se retrouve au complet". Et Gad, visiblement, en fait partie, du "clan"…

Gad et Charlotte bientôt fiancés ?

Paris-Match insiste beaucoup sur le fait : les tourtereaux n’ont rien fait pour se cacher. Au contraire. Photo à l’appui, le journal souligne en effet que Gad et Charlotte se sont prêtés "à une séance photo avec des fans de (l’acteur). Malgré les lunettes noires, note le mag, l’anonymat n’est pas de mise". Y aurait-il volonté de communiquer, de faire passer un message ? On peut se poser la question, d’autant que Bonifacio n’est pas l’endroit le plus discret au monde. "En août, relève subtilement l’hebdo, les estivants se pressent dans la cité, deuxième port de Corse pour le trafic passagers avec l’étranger ; ils se promènent en masse sur les quais comme on vient au spectacle. Les navires sont immenses, nombreux, superbes et les stars ne manquent pas, souvent si détendues qu’elles n’hésitent pas à partager leur célébrité". Et leur intimité ? Bon, OK, on n’en est pas encore au faire-part, mais mais mais… ça y ressemble un peu, en même temps, quelque part…

Las Vegas, suite 2401 : quand Harry rencontre Carrie

Dans la catégorie petit prince, y’en a un qu’on est pas prêt de marier (quoique ça pourrait être, temporairement, une solution…), c’est Harry d’Angleterre ! Après les photos de l’héritier cucul et kiki à l’air (en attendant, qui sait ?, une petite vidéo bien sentie et bien montée), figurez-vous que "Public" a mis la main sur le témoignage très frais, très vert, très Vetyver d’une certaine Carrie Reichardt… "J’ai couché avec le prince Harry !", raconte au mag "l’esthéticienne de 32 ans" qui était là "la nuit où tout a basculé", le prince et son caleçon, en particulier. "Harry avait la suite qui donne au-dessus de la piscine dans laquelle on s’amusait avec mes copines, explique-t-elle. Des potes du prince sont descendus nous demander si ça nous plairait de faire la fête avec lui. On a bien sûr accepté. Nous sommes entrées directement dans la High Roller Suite n° 2401, sans contrôle, il n’y avait pas de service de sécurité à l’étage. On aurait dit une boîte de nuit. La musique était à fond et l’alcool coulait à flot".

Harry air zizi guitar

Et alors ? Et alors ! Hé ho, minute, ça vient. "Harry était tout nu au milieu de filles, continue Carrie. Il avait l’air déjà bien alcoolisé. Il s’agrippait aux filles en rigolant. Il semblait assez fier d’être nu. A un moment, il s’est retourné vers nous et a dit : "Salut ! La fête c’est ici !", et il s’est marré. (…) Il titubait beaucoup et n’était pas vraiment intelligible. Il faut dire que ses copains n’étaient pas d’une grande aide, puisqu’ils lui ramenaient sans cesse des verres. Harry était déchaîné, il s’est même mis à jouer de l’air guitar tout nu au milieu de la suite. Inutile de vous préciser ce qui faisait office de manche de guitare". Heu, Carrie, chhhttt, me dis pas ! Sa queue de billard ?

Harry, Harry, tiens le bien !

Bon, et sinon, c’est comment qu’ils en sont venus à faire de la zizique tous les deux, Harry et Carrie ? "Il avait la conversation typique d’un mec bourré, se souvient l’esthéticienne. Ca n’avait aucun sens mais il était drôle. Nu et drôle. Puis, à un moment, Harry m’a pris la main et m’a entraînée dans la chambre… J’ai enlevé ma robe et on s’est embrassé. Après, je me suis mise à genoux pour lui faire une petite gâterie, mais il était tellement saoul que concrètement, il n’a pas réussi à "assurer"… Malheureusement, on en est resté là. Pendant que je "m’occupais" du prince, je suis quasiment sûre que plusieurs personnes sont entrées et sorties, certains ont même probablement pris des photos. Faute de pouvoir aller physiquement plus loin, on s’est de nouveau embrassé, puis on est ressorti de la chambre". B’alors, un ‘tit coup de mou, Harrynounet ? En tout cas, merci, Carrie, du fond du coeur, pour cette belle histoire.

Kristen, pourquoi tant de haine ?

Dans la série des belles histoires et… des drames de l’été, il y a, bien sûr, la pénible, la douloureuse affaire Kristen Stewart/Robert Pattinson. Zêtes au courant, c’est bien, vous pouvez passer direct au paragraphe qui suit. Zavez loupé un épisode ? Vous vivez un peu sur la lune, mais bah, on vous en veut pas, on est grand seigneur, on vous résume — d’ailleurs, c’est pas bien compliqué : Kristen a trompé Bob avec Rupert Sanders, le réalisateur marié et père de deux enfants du film "Blanche-Neige et le chasseur" dans lequel elle a tourné. Allez, pas de honte, vous êtes pardonné, et puis, on reconnaît, c’était pas bien difficile à expliquer (smiley, luv, luv, oui, oui, on reste amis). Reste que l’histoire n’est pas finie et que la suite… bah, là, on avoue, on a un peu plus de mal à la raconter en deux coups de cuiller à pot. Peut-être parce qu’on comprend pas vraiment pourquoi, depuis que le "scandale" a éclaté, Kristen est l’objet d’un bashing insensé, furieux, irrationnel de la part des médias — et des fans de la série "Twilight" (qui a permis à la belle et à Robert de se rencontrer). On est un peu bêbête, stuck in the head, hein ? Mais bon, merdum !, ça arrive tout le temps, ces choses-là (coucou, Angie, salut Brad, sorry Jenny), c’est la vie, hmmm, alors, pourquoi, pourquoi tant de haine contre la pauvre Kristen.

Kristen Stewart, "la morte de l’été"

A l’heure où "Grazia" nous informe que Robert Pattinson, gran signore, a décidé d’accompagner la pécheresse à la première du dernier volet de "Twilight" pour lui éviter "de se faire huer en étant seule sur le red carpet", après des semaines et des semaines de "Kristen-bashing", un seul magazine ose — enfin ! — prendre la défense de la belle. Lequel ? On vous le donne en mille ? "Le Point" ! Rôôô, ben, ça, alors, si on nous avait dit… Dans sa chronique hebdomadaire, le big Patrick Besson en personne s’insurge, il n’en peut plus : "La morte de l’été 2012 est toujours vivante, écrit-il : c’est Kristen Stewart". Wow, carrément ! Va-z-y, Patrick, continue, tu nous intéresses, là… et pas qu’un peu.

"Son crime ? Coucher avec un homme"

"Son crime, pour lequel elle a été condamnée à la peine de mort médiatique ? Coucher avec un homme. Kristen est-elle une Afghane ? Non : une Américaine. La coucherie eut-elle lieu à Islamabad ? Non : à Hollywood. La jeune actrice la plus incroyablement douée de sa génération (il faut l’avoir vue dans "In the Land of Women", de Jonathan Kasdan, "Des gens impitoyables", de Griffin Dunne, et, bien sûr, "Blanche-Neige et le chasseur", de Rupert Sanders) risque, après cet événement banal, de ne plus avoir de travail. Elle est aussi quelque chose dans un petit truc de vampires qu’ont vu des dizaines de millions d’ados sur toute la planète, mais les gens qui boivent son sang aujourd’hui sont beaucoup plus goulus". Bien vu, Patrick, et merci, mille fois : tu as écrit un truc qu’on aurait trouvé plus normal de lire dans la presse pipole et féminine, mais bon…, on va pas chipoter : grâce à toi, l’erreur est réparée — l’était temps.... Encore un mot, Patrickounet ? "Une jeune femme fiancée couche avec un homme marié plus âgé qu’elle. J’ai beau chercher, je ne vois pas du tout où est le mal". Rouuuuu, le grand vilain coquin de Besson !

Amélie Nothomb amoureuse

Est-ce qu’Amélie Nothomb couche ? Oh, ben alors, z’en avez de ces questions ! Bon, OK, on y va fort. En même temps, l’écrivain, interviewée dans "Grazia" à l’occasion de la sortie de son dernier livre ("Barbe bleue", Albin Michel, plutôt bon), va assez loin, elle aussi, registre confidences amoureuses et privées — plus loin, peut-être qu’elle n’a jamais été (laissez tomber le papier dans "Elle", fait pas le poids). "Quand quelqu’un est aimé de moi, c’est elle qui le dit, il a des raisons de se sentir très important, parce que je le montre. Je ne suis pas discrète en amour. Je le dis haut et fort". Caramba ! Amélie, on te savait intense et forte en chocolat, là, on est un peu coi… Et on n’a pas fini (de l’être, coi) : "L’amour est la drogue le plus dure de toutes, dit-elle. Je suis moi-même complètement dépendante ; mais manifestement, cette dépendance est partagée". Hou, ça, c’est chouette, Amélie, on aime beaucoup quand les gens s’aiment, se le disent et se le prouvent !

Comment Amélie fait l’amour…

"L’amour est-il un jeu ?", lui demande "Grazia". —"L’amour est tout, y compris un jeu, répond-elle. Il serait tout de même temps que les gens comprennent que le jeu est une expérience profonde, où l’on s’engage tout entier. Faire l’amour, c’est évidemment un jeu. Sinon, quelle barbe ! Evidemment, les premières fois, quand on fait l’amour, on n’a pas vraiment envie de rire. Mais dix ans plus tard, on peut rigoler très fort !" Ah ouais ? Bon, hé ben nous, on bat des deux mains : Amélie, Amélie, tu nous bottes, dis-nous, dis-nous, please, quel est ton secret ! "Je ne me suis jamais ennuyée en amour, dit-elle ; et pourtant, je pratique la longévité amoureuse. Plus le temps passe et plus je trouve ça passionnant. Mais je ne suis pas très douée pour m’ennuyer tout court. Si vous avez peur de vous ennuyer, prenez des champignons hallucinogènes : à deux, c’est fascinant !" Ah, c’est ça, le secret ? Raouuuuul, des champignons, viiiite !

Les amants d’Amélie ? Beaux, arrosés au champagne, mais pas trop

D’autres conseils, Amélie, peut-être ? Nous, on prend tout, hein ! "Je m’insurge quand j’entends dire que la beauté n’est rien, reprend-elle. La beauté est une chose considérable. Tous les êtres dont je me suis éprise étaient plus beaux les uns que les autres". Ah, ben, dis donc, petite coquine, tu t’embêtes pas, hmmm ? Bon, en même temps, nous, non plus : Raoul, c’est simple, il a la beauté du diable (grrrr !). C’est d’ailleurs ce qui rend la chose, parfois, un peu compliquée… Benfin, si tu dis, Amélie, que ça n’est pas un problème, nous, on se conforme, on applique, on obéit… Autre chose ? Oui ! "J’aime bien les rites. Le champagne et les bonnes choses sont les meilleurs amis de l’amour. Bien sûr,on peut être fou d’amour sans champagne, mais c’est tellement moins bien. (Dans mon livre, mes héros) ne boivent qu’une bouteille à deux, ils ont de la classe. Je trouve que l’amour favorise cette modération : quand on est avec son amour, on a envie de boire, pas forcément de se beurrer. L’amour, c’est bon pour la santé". Oui, ben ça, on le savait, en même temps, t’as raison, Mélie, on perd rien à le répéter.

Comment on fait l’amour "en vrai" au cinéma

Du sexe gentil version Amélie au sexe version ciné, la transition est plus ou moins aisée… on la franchit, allez hop !, voyez, c’est pas si compliqué, c’est déjà fait. Regardez-moi cinq minutes les yeux dans les yeux, là, juste, entre nous : franchement, zêtes comme moi, quand vous voyez une scène de c…., vous vous demandez comment ils font, non ? Vous vous demandez comment ça se passe, si ça se fait ou ça se fait pas, si c’est du faux ou du vrai. Non ? !  Figurez-vous que c’est pas si évident, tout ça, que ça se négocie, et sur contrat, s’il vous plaît… C’est en tout cas ce qui ressort de l’enquête que "Be" consacre à la question, devenue chaude brûlante depuis que Shia LaBeouf et Charlotte Gainsbourg se sont engagés à "faire l’amour en vrai" dans "Nymphomaniac", le prochain film de Lars Von Trier (voir la revue de presse de samedi dernier). Consciencieux ( ? !), le magazine est allé interroger des actrices qui l’ont fait, l’amour, et pour de vrai, sous l’œil des caméras…

"Je m’abandonnais, mais je n’avais aucun plaisir sexuel"

Hou, la, la ! Caliente ! Interrogée par le mag, Deborah Révy raconte comment, après une phase réticente, elle en est venue à accepter de tourner dans "Q" ( ! !) de Laurent Bouhnik : "J’ai appris dès l’annonce de casting, dit-elle, qu’il y aurait du sexe non simulé. "No way !" J’avais déjà tourné un court-métrage érotique dans la collection X Femmes (réalisé par Lou Doillon, ndlr), mais j’étais doublée pour ça… J’y suis allée quand même par curiosité. Ma rencontre avec Bouhnik m’a rassurée, il y avait un propos, du sens…" Au programme, précise "Be" : une pénétration ("qui n’a pas marché"), des fellations, une scène lesbienne. "Je ne redoutais même pas, en confiance sur le projet et habitée par mon personnage". Et durant la scène ?, s’interroge le mag. "Bizarrement, je me sentais avoir des ailes. Je m’abandonnais. Mais je n’avais aucun plaisir sexuel, puisque ce n’était pas "moi"". Actrice, jusqu’au bout, hmmm ? Brrrrr ! Ca reste bizarre, quand même, tout ça. Vous le feriez, vous ? Moi, pas. Hou, la, la !

Vous en voulez encore ?

Evitez-vous une dépense : la couv de "Gala" sur Carla Bruni et son "audacieux come-back" est alléchante, mais trompeuse. Le papier ne dit rien, mais alors strictement rien, sinon que l’ex-première dame ne reparaîtra que "lorsqu’elle aura retrouvé sa taille de guêpe, (qu’elle) estime qu’elle a encore cinq kilos à perdre, (et qu’en) plus, elle a fait cet été une chute dans l’escalier de sa demeure familiale, ce qui lui a valu le port d’une attelle". Très "audacieux", "Gala" chéri, ton "come-back" de Carlita !

Toute la presse pleure Jean-Luc Delarue, "Voici" pleure aussi Stéphane Slima de "Sous le soleil". Les délais de bouclage n’étant pas les mêmes chez les uns et chez les autres, "Paris-Match", visiblement très inquiet, a été le premier à titrer sur l’hospitalisation de Johnny Halliday. Le mag était en kiosque deux jours avant son jour habituel de sortie, et a ainsi damé le pion à "VSD" et à… "Voici" qui compense largement son retard avec un papier en apparence très très gentil sur Laeticia, mais au final assez décapant.

Rayon amour(s), sinon : mauvais caramel… Katy Perry s’est fait plaquer par John Mayer au bout de seulement trois semaines ("Grazia") ; pour l’amour de sa fille Suri…, Katie Holmes a renoncé à la moitié de la fortune de Tom Cruise estimée à 220 millions d’euros et s’est "contentée" d’une pension de 26 000 euros par mois ("Public"). La pôvre… ; Benicio del Toro et Kimberly Stewart, la fille de Rod, oui, auraient "remis le couvert" ("Voici", "Public") ; Avril Lavigne s’est fiancée en loucedé avec Chad Kroeger du groupe Nickelback ("Public") ; Blake Fielder-Civil, l’ex d’Amy Winehouse, va être papa pour la deuxième fois ("Public").

En vrac : Katie Holmes présentera le 9 septembre à New York le premier défilé de sa griffe Holmes & Yang ("Grazia") ; Vivienne Pitt, la fille d’Angie et de Brad, va faire ses débuts au cinéma dans "Maléfique" où sa mère incarne le rôle de la vilaine sorcière et où elle incarnera le rôle de la Belle au bois dormant, enfant. Ca ne s’invente pas… ("Grazia") ; Oliver Stone prépare un film sur la vie de Berlusconi et "aurait même casté l’une des vraies Berlusconigirls", Nicole Minetti ("Be").

Côté dossiers/tests : "Public" propose un spécial "Best of de l’été" (ben, oui, argh !, c’est fini, tout ça…) et un "Quelle peste sommeille en vous ?" On a fait le test, et le verdict est tombé : on est, apparemment, une "peste refoulée". Bon, bah, en même temps, on pouvait pas faire mieux : d’après le classement, c’est ce qu’il y a de plus gentil, ou de moins méchant…