Le corps des hommes : décryptage de 5 idées reçues ; Ébola : l'épidémie a fait 4.000 victimes en Afrique et s'étend toujours<!-- --> | Atlantico.fr
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43 % des hommes de 18 à 59 ans pensent au sexe moins d'une fois par jour.
43 % des hommes de 18 à 59 ans pensent au sexe moins d'une fois par jour.
©Reuters

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Et aussi : un lien entre le papillomavirus et une maladie auto-immune ; en bref : une piste pour traiter les maladies auto-immunes ; les huit visages de la schizophrénie.

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Le corps des hommes : décryptage de 5 idées reçues

Ils ne penseraient qu'au sexe, leurs poils rasés pousseraient plus drus et la taille de leurs pieds renseignerait sur celle de leur pénis. La liste de mythes masculins est longue, analysons-en quelques-uns.

Les hommes ne pensent qu'au sexe

43 % des hommes de 18 à 59 ans pensent au sexe moins d'une fois par jour, entre une à deux fois par semaine ou même une à deux fois par mois, rapporte une des enquêtes les plus complètes sur les habitudes sexuelles des ressortissants des États-Unis, datant de 1994. Une étude plus récente indique néanmoins que chez les jeunes Américains, âgés de 18 à 25 ans, les pensées coquines surviennent toutes les 28 minutes

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Ébola : l'épidémie a fait 4.000 victimes en Afrique et s'étend toujours

Les dernières statistiques de l'OMS font état d'un millier de nouveaux cas par semaine en Afrique de l'ouest, un rythme qui devrait atteindre un pic en décembre. Actuellement plus de 8.000 personnes sont infectées.

En Afrique, le virus Ébola a déjà tué plus de 4.000 personnes et plus du double sont infectées. Du moins sont-ce les chiffres au 10 octobre car le nombre de cas ne cesse d'augmenter. Ce mardi, Bruce Aylward, adjoint au directeur général de l'OMS (Organisation mondiale de la santé), a affirmé qu'en décembre, le nombre de personnes touchées par cette fièvre hémorragique augmentera en Afrique de l'ouest de 5.000 à 10.000 par semaine, contre un rythme hebdomadaire actuel d'environ un millier.

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Un lien entre le papillomavirus et une maladie auto-immune

Les cellules immunitaires activées lors d’une infection par le virus HPV-16 sont similaires à celles que l'on retrouve dans une maladie auto-immune, le lichen plan érosif muqueux (LPEM). Dans cette maladie de la peau, le système immunitaire réagit anormalement à l'encontre des muqueuses.

Le lichen plan érosif muqueux (LPEM) est une maladie inflammatoire, suspectée d’être auto-immune : elle s’expliquerait par une activation anormale des cellules immunitaires dirigée contre certaines cellules de l’organisme. La maladie touche les muqueuses buccales et génitales et se manifeste par des lésions et la destruction de cellules de la peau appelées kératinocytes. Elle est chronique et récidivante, puisque les traitements actuels ne sont que partiellement efficaces. Bien que rare – elle affecte de 0,1 à 4 % de la population générale –, la maladie du LPEM peut engendrer des complications sévères (douleurs, difficultés à s’alimenter, transformation cancéreuse…).

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En bref : une piste pour traiter les maladies auto-immunes

Présente à la surface des cellules immunitaires, une protéine serait impliquée dans l’apparition de maladies auto-immunes. Une équipe de l'Inserm, qui l'étudie depuis des années, est sur la piste de nouveaux traitements. Explications.

La protéine CD31, présente à la surface des cellules immunitaires, serait-elle la clé contre les maladies auto-immunes ? En effet, les scientifiques de l’Unité 1148 Inserm/Université Paris Diderot/Hôpital Bichat travaillent sur elle depuis 10 ans. Ils ont d’ailleurs décrit les mécanismes l’associant au déclenchement d’une réaction auto-immune. Ils cherchent également à mettre au point une solution thérapeutique se fondant sur leurs résultats.

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Les huit visages de la schizophrénie

Une étude génétique indique que la schizophrénie ne serait pas une maladie unique mais regrouperait huit troubles génétiquement distincts. Voilà qui confirmerait l’existence de diverses formes de cette pathologie, plus ou moins invalidantes.

La schizophrénie est plus présente dans certaines familles, d’où l’idée qu’il puisse exister des facteurs génétiques. Ainsi, chez les vrais jumeaux, si l'un est schizophrène, l’autre présente 80 % de risque de l’être aussi. Mais dans une fratrie, un membre peut être atteint et non les autres. C’est pourquoi, dans un article paru dans American Journal of Psychiatry, des chercheurs ont voulu mieux comprendre les origines génétiques de la schizophrénie.

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