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Dans la nuit de Noël 1492, le navire amiral de la flotte de Christophe Colomb, qui venait de découvrir Saint-Domingue, sombrait.
Dans la nuit de Noël 1492, le navire amiral de la flotte de Christophe Colomb, qui venait de découvrir Saint-Domingue, sombrait.
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Et aussi : Planck et inflation : une carte magnétique de la Galaxie pose question ; L'extrême en vidéo : un poisson géant attaque un calmar espion ! ;Une étoile sœur du Soleil identifiée par une équipe d'astronomes.

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A-t-on retrouvé la Santa Maria, le navire de Christophe Colomb ?

Dans la nuit de Noël 1492, le navire amiral de la flotte de Christophe Colomb, qui venait de découvrir Saint-Domingue, sombrait. Bien que le navigateur génois ait indiqué dans son carnet de bord la localisation de l’épave, les archéologues la cherchaient encore. La caraque aurait peut-être été repérée par une équipe états-unienne.

Le 12 octobre 1492, le monde allait changer. À la tête d’une expédition inédite, le navigateur génois Christophe Colomb posait le pied sur l’île de San Salvador, associée au continent américain, après une traversée de l’Atlantique entamée le 3 août de la même année. Pensant avoir découvert une route plus rapide vers les Indes orientales, l’explorateur avait en réalité dévoilé un nouveau monde, inconnu des Occidentaux à l’époque, qui allait par la suite être le lieu de nombreux conflits avec les populations locales, mais aussi entre Européens, dans le but de conquérir les terres afin d’accroître leur pouvoir et leur richesse.

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Planck et inflation : une carte magnétique de la Galaxie pose question

Les membres de la collaboration Bicep2 ont-ils bel et bien apporté la preuve manquante de la théorie de l'inflation ? Ou bien la polarisation du rayonnement fossile qu'ils pensent avoir détectée n'est-elle qu'une manifestation des émissions des poussières magnétisées de la Voie lactée ? Tout en continuant à chercher à le savoir, les membres de la collaboration Planck ont dressé une nouvelle carte partielle du champ magnétique de notre Galaxie déduite de ces émissions. Ils viennent de la rendre publique.

Le 14 mai 2009, une fusée Ariane 5 s’élançait vers les étoiles, avec à son bord les satellites Planck et Herschel destinés à rejoindre à terme le point de Lagrange L2. Depuis, cinq années se sont écoulées. Ces deux yeux de l’humanité sur orbite lui ont permis de voir comme jamais auparavant ce qui se passait quand l’univers observable n’était âgé que de 380.000 ans, ainsi que l’intérieur des pouponnières d’étoiles. Les chercheurs continuent à analyser les observations de Planck après nous avoir fourni la carte la plus précise à ce jour des fluctuations de température de la plus vieille lumière du monde, celle du rayonnement fossile.

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L'extrême en vidéo : un poisson géant attaque un calmar espion !

Une chasse insolite s’est imposée à deux mérous patates. Tandis qu’ils pensaient déguster un calmar de belle taille, leur repas s’est révélé être un robot espion. Le Spy Squid, comme huit autres congénères, est conçu pour nager aux côtés des dauphins et découvrir leur quotidien. Aujourd’hui, L’extrême en vidéo revient sur ce réseau d’espionnage marin qui a ramené des images inédites, comme l'apprentissage de la vie par un bébé dauphin... ou l'usage d'un narcotique.

En général, ils s’attaquent aux crabes, aux raies ou bien aux langoustes. Mais cette fois, deux mérous patates ont choisi de chasser un calmar. Jusque-là, rien de bien étonnant. Après tout, ce céphalopode est fait d'une chair plutôt tendre. Cependant, à leur grande surprise, ces géants des récifs tropicaux se sont attaqués à un calmar impropre à la consommation.

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Une étoile sœur du Soleil identifiée par une équipe d'astronomes

Recherchés depuis longtemps dans la Galaxie, les frères et sœurs du Soleil nés voici plus de 4,5 milliards d’années ont jusqu’ici échappé aux astronomes. Une équipe de chercheurs emmenée par Ivan Ramirez assure, cependant, avoir identifié un premier cas dans la constellation d’Hercule, à quelque 110 années-lumière de nous. Débusquer ces étoiles possédant une abondance de certains éléments chimiques identique à celle du Soleil peut nous éclairer sur la genèse de notre Système solaire, voire sur l’apparition de la vie.

Né voici plus de 4,5 milliards d’années au sein d’un vaste nuage moléculaire — vraisemblablement sous l’impulsion d’une supernova, probable génitrice baptisée Coatlicue comme la mère des dieux et déesse de la terre chez les Aztèques —, le Soleil ne fut naturellement pas la seule étoile à y voir le jour, à l’image de ce qui est observé ailleurs dans les nébuleuses de notre Galaxie. Désignés amas ouvert, ils sont nombreux dans la Voie lactée à essaimer parcimonieusement leur population de jeunes étoiles. Parmi les plus célèbres et visibles à l’œil nu, on peut citer les Pléiades (M45), l’amas de Ptolémée (M7) ou de la Ruche (M44). Certaines de ces fratries ne comptent que quelques centaines d’étoiles, tandis que d’autres en arborent fièrement plusieurs milliers. À plus ou moins long terme, toutes les familles se désunissent. Un sort auquel, bien sûr, notre étoile (une naine jaune) et tous ses frères et sœurs n’ont pas échappé.

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Bientôt une micropile à combustible pour les smartphones ?

En Finlande, un étudiant-chercheur de l’université d’Aalto a mis au point une micropile à combustible qui peut fonctionner avec de l’hydrogène, de l’éthanol ou du méthanol. Plusieurs de ces micropiles pourraient suffire à alimenter un smartphone, voire des satellites miniatures.

Trouver une alternative aux batteries actuelles qui alimentent les terminaux mobiles (smartphones, tablettes, objets connectés, etc.) est un défi technique que de nombreux centres de recherche voudraient bien être les premiers à relever. Qu’il s’agisse d’utiliser la chaleur du corps, des boîtes quantiques bio-organiques ou encore la technique de l’origami, les pistes sont aussi variées que prometteuses. Reste à savoir quelle technologie émergera et s’imposera dans un avenir proche. Pourquoi pas une micropile à combustible développée à l’université d’Aalto, en Finlande ? Il s’agit d’une petite galette d’aluminium de 14 mm2 et 1 mm d’épaisseur qui peut produire entre 0,5 et 1 volt selon qu’elle est alimentée par de l’éthanol, du méthanol ou de l’hydrogène.

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