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Zapping politique du jour : Michel Sapin, Le Drian, Chevènement... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce mercredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Laurent Wauquiez, député UMP, sur France 2

"Pour moi, Manuel Valls est une déception, c'était quelqu'un pour lequel j'avais une certaine estime, je pensais que c'était un grand républicain, je trouve que c'est un petit monsieur qui fait des petites polémiques"

La vidéo du jour : Michel Sapin, ministre du Travail, sur iTélé


L'essentiel de ce mercredi matin

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, sur Europe 1

La Centrafrique ? "Il y a un consensus important ce qui est un soutien à nos militaires. C'est un signe fort pour les Africains et des Nations Unies. Une opération de maintien de la paix des Nations Unies doit être mandatée. Depuis 2 mois, les massacres de masse se sont arrêtés, il y a une nouvelle équipe dirigeante, la vie à Bangui a repris, les écoles sont rouvertes. Tout ne va pas bien mais nous avons fait bouger les choses".

"La mission de la France est diligentée par le Conseil de sécurité, elle l'a été pour 6 mois. Nous assurons la sécurité des habitants et nous devons éviter un vide sécuritaire. (...) Je travaille avec les généraux de terrain et pas avec des experts. Donc je ne réponds pas aux polémiques lancées par ces gens. Nous, notre but c'est de reconstruire l'Etat centrafricain. La première préoccupation, c'est la sécurité de proximité. C'est une demande des autorités de la république centrafricaine".

Jean-Pierre Chevènement, sénateur sur RTL

Centrafrique ? "J'ai voté la prolongation de l'opération car il y a un devoir d'action, plus que d'assistance. Il y a un mandat des Nations Unies et la France a un passé en commun avec ce pays donc nous devons poursuivre. Il est normal de maintenir la paix dans ce pays. Cela prendra du temps mais il fallait agir".

L'Ukraine ? "La première Russie, c'était l'Ukraine. Il faut donc se méfier de l'ingérence de part et d'autres. Il y a eu une révolution ou un coup d'état, cela dépend de là où on se place. L'Assemblée a destitué le président et je constate aujourd'hui qu'il y a un fort risque de guerre civile. (...) Je pense que la réaction russe a été modérée et il faut avoir peur maintenant d'une séparation. C'est une question délicate !"

L'attitude des Verts ? "Le sens de l'Etat s'est un peu perdu. Le gouvernement tolère des expressions divergentes, il ne le devrait pas. Les Verts sont un problème pour ce gouvernement. Je n'ai rien contre Cécile Duflot mais il faut de l'ordre et de la clarté dans l'Etat". 

Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche, dans Le Figaro

Les Verts et la polémique sur l'aéroport de Notre-Dame des Landes ? "Quand je vois que le président du groupe des Verts au Sénat, Jean-Vincent Placé, et que la secrétaire nationale d'EELV, Emmanuelle Cosse, participaient samedi à une manifestation contre le gouvernement à Nantes, j'estime qu'ils ont franchi une étape inquiétante. J'avais déjà regretté que les Verts, qui appartiennent à la majorité présidentielle, aient appelé les lycéens à descendre dans la rue fin 2013. Le week-end dernier, ils ont sciemment participé à un rassemblement qui s'est terminé par des violences ahurissantes, qui avaient été planifiées, organisées par des groupes de casseurs, de voyous. (...) Tout cela nuit à l'action de la majorité et à la réussite du redressement de la France".

"Ce que je reproche aux Verts ? Je les accuse d'obscurantisme. Sur un certain nombre de sujets dont dépendent l'avenir et l'indépendance de la France, il y a beaucoup à dire. (...)  Je pense qu'il est temps de mettre les Verts devant leurs obligations. Nous entrons dans le débat sur le pacte de responsabilité. Et quand je vois leurs positions et leurs déclarations très critiques à l'égard de ce projet déterminant pour la réussite du quinquennat, je m'interroge sur leur présence dans la majorité".

L'action de Valls ? "Le poste de ministre de l'Intérieur est l'un des plus critiqués de la République. Même Georges Clemenceau, dont je suis un admirateur, a rencontré des difficultés dans cette responsabilité. Il a été très contesté. Je trouve qu'il y a du Clemenceau chez Valls". 

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