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Zapping politique du jour : Marine Le Pen, Juppé, Morin... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce lundi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Marine Le Pen, présidente du FN, sur Europe 1

"On ne va pas comparer la France et l'apartheid. Ca n'a aucun sens de croire qu'en France il y aurait une forme d'apartheid. Les lois sont les mêmes pour tout le monde. Et s'il y a des personnes qui vivent des discriminations, ce sont bien souvent nos compatriotes qui vivent dans les campagnes".

La vidéo du jour : Hervé Morin, député UDI sur iTélé

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L'essentiel de ce lundi matin

Alain Juppé, maire UMP de Bordeaux et ex-Premier ministre au Point.fr

La situation de l'UMP ? "Je crois que l'UMP a plus que jamais sa raison d'être. Nous avons besoin en France d'une grande formation de la droite et du centre. Il peut y avoir, certes, d'autres formations ; il peut y avoir un parti centriste que Bayrou et Borloo essaient de créer. Mais il faut que l'UMP garde sa place en conservant aussi sa diversité, c'est-à-dire la droite et le centre. C'est pour moi extrêmement important. On ne peut évidemment pas dire que tout aille pour le mieux dans le meilleur des mondes et l'on voit bien les points sur lesquels il faut s'améliorer.

"D'abord, la cohésion, l'unité, le rassemblement. Il est normal que des personnalités brillantes s'expriment parfois de manière un peu forte et nous avons la chance d'avoir beaucoup de gens de qualité, mais ce que nos électeurs attendent, c'est qu'on leur montre notre volonté de travailler ensemble. Le moment viendra de choisir le champion pour 2017. Nous nous sommes mis d'accord sur une procédure qui a été très largement validée par nos militants : les primaires. Donc, on verra ça le moment venu". 

Les interventions militaires en Afrique ? "Je soutiens ces interventions, celle qu'on a faite au Mali, celle qu'on fait désormais en Centrafrique. Pourquoi ? Parce que la France a une responsabilité particulière dans ces pays. Chaque fois, nous sommes intervenus dans le cadre d'un mandat qui a été donné par le Conseil de sécurité des Nations unies. Nous avons jusqu'à présent les moyens de le faire et nos partenaires africains le demandent aussi, donc, je crois que nous avons eu raison d'intervenir".

Florian Philippot, vice-président du FN

L'intervention en Centrafrique ? "Nous soutenons cette intervention car elle est conforme aux intérêts du pays. La France a des choses à défendre là-bas mais il ne faut pas s'enliser et il faut réfléchir au format de notre outil de défense. Le FN propose que les moyens militaires ne descendent pas au-delà de 2% du PIB. Il faut une vraie politique de défense française et ne pas être toujours dans un "suivisme" des Etats-Unis. En Centrafrique, il faudra aussi passer la main le moment venu".

La mort de Mandela ? "C'est une figure de paix et de réconciliation. Sa disparition a été une grande émotion. L'apartheid était une monstruosité. En 1990, Jean-Marie Le Pen avait une analyse différente. A l'époque, il y avait tellement d'analyses..."

Un rapprochement avec Nicolas Dupont-Aignan ? "Il n'y a aucune différence entre lui et nous. Il a décidé de ne pas se rapprocher de nous, je le regrette. Il divise les patriotes. Or, il faut tendre la main à tous les patriotes pour essayer de se rassembler. (...) Marine Le Pen a une immense légitimité. (...) Une baisse dans les sondages ? Oui, elle monte, elle baisse. C'est variable mais la vérité des votes se fera dans les urnes. Là, ce sera un vrai résultat".

Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris sur RMC

La campagne pour les municipales ? "Je veux que les Parisiens choisissent. (...) Une campagne municipale, c’est le dépassement des frontières politiques. L'alliance avec le centre, c’est une façon de dépasser les frontières traditionnelles".

Des suppressions de postes à la mairie si elle est élue ? "On peut supprimer 500 emplois par an sur la sur-administration. Il faut plus de fonctionnaires sur le terrain. Aujourd'hui, la mairie compte 54 000 employés. Il y a un développement de la sur-administration. Il y a trop de chargés de mission, dotés de fonctions quelques peu politiques. Je veux non pas en enlever sur le terrain, mais en affecter en matière de sécurité. Il y a des quartiers où c’est rude"

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