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Énergie : sommes nous à la veille 
d'un krach boursier ?
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Spéculation

Le marché boursier américain présente d'étranges similitudes avec la situation qui précéda l'éclatement de la bulle technologique en 2000.

Les marchés américains poursuivent leur tendance à la hausse, malgré un nombre croissant de "vents contraires" (durcissement des politiques des banques centrales, hausse du pétrole, contexte géopolitique... etc.).

Personne ne peut dire si cette orientation durera mais, en dépit des records annuels constatés en mars et en avril, la plupart des secteurs du S&P 500 (l'indice des 500 plus grandes entreprises côtées sur les bourses américaines) affichent des performances inférieures à la moyenne. Seuls deux secteurs "surperforment" : l'énergie et, dans une moindre mesure, l'industrie.

Un analyste américain constate que cette situation est très similaire à celle qui précéda l'éclatement de la bulle technologique au premier trimestre des années 2 000 : le secteur high-tech était alors le seul à afficher d'insolentes performances, également largement supérieures à la moyenne.

L'avenir nous dira si les mêmes causes produiront les mêmes effets, mais le risque est là si le secteur de l'énergie connaît les mêmes mouvements spéculatifs que les nouvelles technologies en 2000 et que l'immobilier en 2007.

Business Insider remarque par ailleurs que les prix à la consommation ont diminué en dépit d'un dollar relativement faible, et que le pétrole et l'or se sont renchéris. La récente baisse globale du cours des matières premières s'expliquerait d'abord par la diminution des prix du sucre, du coton, du blé, du plomb, du zinc ou encore du cuivre. Les cours de ces matières premières et  de ces métaux avaient atteint des records au premier trimestre 2011.

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