Tireur de Paris : grève de la faim pour Abdelhakim Dekhar<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Tireur de Paris : grève de la faim pour Abdelhakim Dekhar
©

Nouvelle péripétie

C’est en tout cas ce qu’affirme ce dimanche la chaîne de télévision BFMTV.

L’affaire Dekhar connaît un nouveau rebondissement. En effet, selon BFMTV, Abdelhakim Dekhar, le tireur présumé de Libération et de la Société Générale à la Défense, a entamé depuis samedi une grève de la faim. Selon le site internet de la chaîne d'information en continu, il ne boit que de l'eau mais ne s'alimente plus, sans pour autant préciser quelles sont ses revendications.

Après 48 heures de garde à vue médicalisée, il a été présenté à un juge d'instruction et mis en examen dans la nuit de vendredi à samedi. Il se trouvait toujours samedi à l'Hôtel Dieu, en attendant de pouvoir être placé en détention.  Déjà, samedi, l’affaire avait rebondi. En effet, Florence Rey s’était exprimé sur ce sujet. La jeune femme, libérée en mai 2009 après quinze ans de réclusion pour l'équipée sanglante qui avait fait cinq morts dans Paris en 1994, a assuré dans un communiqué transmis à l'AFP qu'elle n'avait "plus aucun lien avec Abdelhakim Dekhar depuis 1994". Elle s'est également étonnée "que ce sinistre personnage (...) ait choisi de replonger dans des actions criminelles".

Lors de ses premières auditions, Abdelhakim Dekhar, arrêté pour tentatives d'assassinats à Libération, BFMTV et La Défense, a invoqué son "droit au silence" faute d'avoir eu accès à son dossier, avait annoncé jeudi soir son avocat, Me Rémi Lorrain. Le suspect a également évoqué des "trous de mémoire" sur ce qu'il aurait ou non fait. Le tireur présumé de Paris a également interpellé pour "enlèvement et séquestration" d'un automobiliste pris brièvement en otage lundi.

Lu sur BFMTV

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !