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Affaire des tableaux : Claude Guéant conteste les accusations du "Point"
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Selon l'hebdomadaire, les 500 000 euros perçus par l'ancien ministre viendraient d'un avocat djiboutien.

Claude Guéant répond. Selon Le Point, les 500 000 euros perçus dans le cadre d'une vente de tableaux par l'ancien ministre de l'Intérieur proviendraient d'un avocat djiboutien. Une thèse contre laquelle il se dresse sur le site Internet du Figaro. "J'ai pour position de principe de ne plus parler de ces affaires-là. Je n'ai jamais entendu parler d'une telle hypothèse", déclare-t-il, ajoutant que l'histoire relatée par Le Point est farfelue.

Claude Guéant répète donc sa version des faits. Le demi-million d'euros découvert par la Police Judiciaire serait issu de l'achat par un avocat malaisien de deux marines du peintre flamand Andries van Eertvelt qui était en sa possession. Le Figaro précise toutefois que la vente de ces tableaux s'est faite à un prix largement supérieur à ceux du marché.

Les enquêteurs ont découvert l'existence de cette somme lors d'une perquisition menée le 27 février dernier. Cette somme expliquerait en partie que l'ancien ministre ait pu s'offrir un appartement de 90 mètres carrés dans le XVIe arrondissement de Paris en 2008. Claude Guéant est actuellement visé par une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris au sujet de primes en liquide qu'il aurait, selon lui, touchées entre 2002 et 2004, alors qu'il était directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur.

Lu sur Le Figaro

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