Zapping politique du jour : Manuel Valls, Cohn-Bendit, Hulot, Dati, Le Roux... Tout ce qu'il faut retenir<!-- --> | Atlantico.fr
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Atlantico.fr vous résume chaque jour les meilleurs moments de l'actualité politique.
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©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce mercredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour :

Daniel Cohn-Bendit, eurodéputé Vert, sur Europe 1 : "Je comprends la décision de Noël Mamère. Je partage le ras-le-bol sur le fonctionnement, le clanisme, les couples terrifiants qui règnent sur Europe Ecologie." Noël Mamère a annoncé qu'il quittait EELV dans un entretien au Monde ce mercredi.

La vidéo du jour :

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L'essentiel de ce mercredi matin :

Nicolas Hulot, ex-candidat à la primaire EELV, sur RTL

Nicolas Hulot est revenu sur la décision de Noël Mamère de quitter Europe Ecologie-Les Verts : "Je ne sais pas s'il a tort ou raison", a-t-il réagi. "Ce qui est clair, c'est que dans cette formation politique, (...) il y a quelque chose qui ne marche : ils ne rencontrent pas l'adhésion de la société." "Il y a presque un rejet sur l'écologie aujourd'hui", a-t-il estimé. Selon lui, EELV "doit se demander pourquoi au moment de la campagne présidentielle on a même réussi à transformer de l'or en plomb". Eva Joly, la candidate des Verts, n'avait recueilli que 2,31% des voix.

Nicolas Hulot est aussi revenu sur le possible départ de Pascal Durand à la tête du parti. "Ce qui m'attriste c'est qu'il faille autant d'énergie pour faire prendre conscience d'un enjeu universel et d'intérêt général", a-t-il déploré. "On fustige les écologistes (...) mais la critique est un peu facile." "Moi, la critique, elle est plus sévère sur les grandes formations politiques : est-ce qu'ils pourraient un jour vraiment travailler en profondeur sur ces sujets ?"

Bruno Le Roux, patron des députés PS, sur Europe 1 : 

Mardi, le sénateur UMP Eric Doligé a fait part de son "instinct meurtrier" vis-à-vis de François Hollande et de son gouvernement. "Je n'y ai pas cru. Ce sont des propos insensés. Irrespectueux d'abord, mais surtout irresponsables. Il y a, quand on fait de la politique, un devoir d'exemplarité", a réagi Bruno Le Roux. Il a ensuite demandé à Jean-François Copé de condamner ces propos. "Le débat politique ne peut pas être un débat haineux comme cela."

Manuel Valls, ministre de l'Intérieur sur RMC : 

Sur ses propos polémiques de la veille : "Je n'ai rien à corriger, mes propos ne choquent que ceux qui ne connaissent pas le dossier." Le ministre de l'Intérieur avait affirmé mardi que seule une minorité de Roms souhaitait s'intégrer en France.

Sur le mode de vie des Roms : "Ils vivent dans des caravanes. Etre de gauche, c'est refuser l'exploitation de la misère et de gamins livrés au chapardage, avec des mafias installées à Sofia ou Bucarest. L'action de l'Etat, c'est de lutter contre ces bidonvilles, cette misère, et cette délinquance."

Sur l'insertion des Roms : "Il y a des familles qui peuvent parfaitement s'intégrer, mais c'est une minorité. Les Roms ont vocation à rester dans leur pays et à s'y intégrer." "Nous avons tenté des programmes d'insertion, avec des logements. Ces familles, souvent, veulent rester ensemble dans des campements, ce n'est pas possible."  

Sur le démantèlement des camps : "Il faut démanteler tous les campements, quand il y a une décision de justice et une situation sanitaire ou sécuritaire insupportable. Ensuite, nous procédons à des reconduites à la frontière, il n'y a pas d’autres solutions." "Nous n'avons pas vocation à accueillir toute la misère du monde."

Jean-François Copé a demandé au gouvernement de s'opposer à l'élargissement de l'espace Schengen à la Bulgarie et la Roumanie : "L'Union reconnaît que ces pays ne sont pas prêts. On verra plus tard. Car nous n'avons qu'un souhait, c'est que la Roumanie puisse rattraper ce retard."

Des drones pour surveiller certains quartiers de Marseille : "Il ne faut jamais s'interdire les technologies." 

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