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Zapping politique du jour : Bernard Cazeneuve, Juppé, Chevènement... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce jeudi, de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, sur RMC

"Ma position est de dire qu’il peut y avoir un vote, mais c’est au président de décider dans le cadre du respect de nos institutions. Le vrai débat, c’est est-ce qu’il y a eu l’utilisation d’armes chimiques. Nous avons la responsabilité de dire : plus jamais ça" 

La vidéo du jour : Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre, sur Europe 1


Chevènement : "Les faibles ne s'érigent pas sur le terrain de la morale"by Europe 1

L'essentiel de ce jeudi matin

Bernard Cazeneuve, ministre du Budget, sur Europe 1

Le ras-le bol fiscal ? "L'été est un moment de travail pour le ministre du Budget, c'est pour cela que j'ai été discret. Notre objectif est de calmer et stabiliser la pression fiscale en 2014. Les économies doivent être l'instrument principal du budget. D'ailleurs, il y aura beaucoup moins de six milliards de prélèvements supplémentaires. Je veux être le ministre des économies et pas des impôts. Il y aura une pause fiscale en 2014 pour les particuliers et les entreprises".

"Le but est de simplifier le paysage fiscal, il faut qu'il y ait moins de pression fiscale. Il est nécessaire que les particuliers et les entreprises investissent. Je souhaite supprimer des impôts absurdes pour les Français. Je veux la transparence et je veux aussi accompagner les entreprises dans l'investissement. Le développement de l'emploi est nécessaire".

"Notre objectif est que le redressement des comptes publics se fassent par des économies. Je veux faire 14 milliards d'économies. Nous devons réduire les dépenses dans les ministères mais également chez les opérateurs de l'Etat comme RFF ou autres. C'est ce que j'ai fait en travaillant cet été".

"Les collectivités locales sont appelés aussi à faire des efforts. Nous allons aussi nous attaquer aux niches fiscales. Il vaut mieux frapper là dessus que d'augmenter ou créer des impôts".

Les exilés fiscaux ?"1 100 personnes sont venues régulariser leurs impôts. C'est un très bon chiffre".

Alain Juppé, maire UMP de Bordeaux, sur RTL

La situation en Syrie ? "Si je pouvais voter, je voterai en faveur d'une intervention militaire en Syrie car c'est un massacre sans nom. Des milliers de morts, des millions de réfugiés, je suis persuadé qu'il y a eu utilisation des armes chimiques. Intervenir est une décision délicate, j'en ai conscience, qui mérite que l'on pèse toutes les conséquences. On voit bien que toute la région est fragilisée, la Jordanie par exemple. Mais il est vraiment urgent d'agir".

"La Russie ne bougera pas donc se retrancher derrière le Conseil de sécurité de l'ONU, c'est se retrancher dans le camp de l'inaction. (...) J'ai été convaincu par ce qu'a dit Jean-Marc Ayrault mercredi mais est-ce qu'on a eu la dynamique nécessaire pour faire bouger les autres pays ? Je pense que non. Il n'y a pas de solidarité politique entre les nations européennes. Je le regrette".

L'UMP ? "Les militants de l'UMP sont réticents à l'idée d'agir en Syrie. Et puis il y a cette question, et si on nous mentait ? Je crois qu'il faut avoir confiance en nos services de renseignements. Qui a des armes chimiques aujourd'hui ? C'est le régime syrien".

Christian Eckert, député socialiste, sur RMC

La défiscalisation des heures supplémentaires ? "Je ne suis pas favorable au retour de la défiscalisation des heures sup. Les députés sont conscients que le premier problème des Français est le chômage qui pèse sur le pouvoir d'achat. On a mis fin à la défiscalisation des heure supplémentaires. La France était le seul pays à la pratiquer la défiscalisation".

"La défiscalisation coûtait plus de 43 milliards à l'Etat. Certains fonctionnaires très bien payés en profitaient. Ce dispositif n'était pas le bon car pas juste".

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