Syrie : Londres ne veut pas y aller<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Syrie : Londres ne veut pas y aller
©

Ca coince

Les cinq membres du conseil de sécurité de l’ONU se sont réunis brièvement jeudi soir pour évoquer la situation. De son côté, le Parlement britannique a rejeté l’éventualité d’une intervention militaire contre le régime de Bachar al-Assad.

La situation semble figée. Alors que Barack Obama n’a toujours pas pris sa décision de partir en guerre unilatéralement, la Chambre des Communes britannique a rejeté jeudi soir, par 285 voix contre 272, une motion présentée par le Premier ministre David Cameron qui défendait le principe d'une intervention militaire en Syrie.

Le locataire du 10 Downing Street a indiqué dans la foulée qu'il tirerait les conséquences de ce vote. "Il est clair que le Parlement britannique ne veut pas d'intervention militaire britannique. Je prends note et le gouvernement agira en conséquence". Ce "camouflet" pour Barack Obama renforce l’hypothèse d’une intervention américaine en solo. Mais les Etats-Unis cherchent toujours une "coalition internationale" selon Chuck Hagel, le secrétaire américain à la Défense.

Par ailleurs jeudi soir, la réunion demandée à l’ONU par la Russie, l’alliée du régime de Damas, n’a pas permis d’avancer. En 45 minutes, les cinq membres permanents du conseil de sécurité (Etats-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni et France) n’ont pu avancer sur le dossier.

De son côté, Damas se dit prêt à faire face à une intervention et promet de se défendre "contre toute agression".

Lu sur Le Nouvel Obs

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !