Hôpitaux français : Lille et Toulouse toujours en tête du palmarès<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Les CHU de Lille et Toulouse s'imposent une fois de plus en haut du classement annuel des 50 meilleurs hôpitaux publics français.
Les CHU de Lille et Toulouse s'imposent une fois de plus en haut du classement annuel des 50 meilleurs hôpitaux publics français.
©Reuters

Encore au top !

Les deux CHU s'imposent encore une fois en haut du classement annuel des 50 meilleurs hôpitaux publics français, que publie Le Point.

Ils dominent le classement depuis des années. En 2013, les CHU de Lille (1er) et Toulouse (2e) sont toujours en tête du palmarès des 50 meilleurs hôpitaux publics français étudiés pour la qualité de 63 spécialités médicales et chirurgicales, que publie jeudi Le PointPour figurer au classement final, un établissement doit fournir un service médical et chirurgical complet. Les établissements de soins spécialisés en sont donc écartés.

Suivent le CHU de Bordeaux (3e), les hôpitaux universitaires de Strasbourg (4e), le CHU de Nantes (en hausse), celui de Montpellier (qui passe de la 5e à la 6e place), la Pitié-Salpêtrière-Paris (en hausse), les CHU de Nancy (qui passe de la 15e à la 8e place), de Rennes, Grenoble, Amiens, Rouen, Tours, Caen, Clermont-Ferrrand, Nice et Limoges. Le centre hospitalier de La Roche-sur-Yon est 50e.

Ce tableau est complété d’un palmarès des 50 meilleures cliniques privées prenant en compte 37 spécialités, précise l'AFP. Le centre hospitalier privé Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine) garde ainsi la 1e place, talonné par l’hôpital privé Jean-Mermoz (Lyon) et les Nouvelles Cliniques nantaises (Nantes).

Autre enseignement du dossier proposé par Le Point : sur 42 000 praticiens hospitaliers du public, 46% sont des femmes. Elles représentent désormais un quart des chirurgiens, mais il reste des bastions masculins (orthopédie, urologie, chirurgie artérielle, chirurgie cardiaque et thoracique). Et l’accès aux postes hiérarchiques les plus élevés (professeurs, chef de service...) reste dominé par les hommes.

Lu sur Libération

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !