Zapping politique du jour : Pierre Moscovici, Woerth, Cohn-Bendit... Tout ce qu'il faut retenir

La phrase du jour : Pierre Moscovici, ministre de l'Economie sur Canal Plus

"Nous respectons les institutions européennes, en retour, elles doivent aussi nous respecter".

La vidéo du jour : Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement sur Radio Classique

L'invité politique, avec Najat Vallaud-Belkacemby Radio Classique

L'essentiel de ce mardi matin

Alain Vidalies, ministre délégué aux Relations avec le parlement, sur RTL

Projet de loi sur la transparence ? "Beaucoup de parlementaires publient eux mêmes leur patrimoine. Quand vous êtes députés, vous vous devez d'avoir de la transparence. Ils doivent apporter cette réponse aux électeurs. Il y a une crise de confiance. cette loi doit permettre de rétablir la confiance. Nous n'avons rien à nous reprocher et . La transparence est une exigence dans la vie publique. Il y a des limites : la vie familiale mais c'est tout. Le reste doit être le plus transparent possible". 

Comptes en Suisse de certains élus ? "On est dans un degré regrettable du débat public. Où ce monsieur (NDLR : Pierre Condamin-Gerbier, ancien cadre de la banque suisse Reyl) a des noms, ou il n'en a pas mais il faut à un moment, arrêter les rumeurs".

Daniel Cohn-Bendit, député européen sur RMC

Sur les propos de Barroso ? "Je crois que Barroso s’est trompé. C’est lui qui est rétro dans sa conception du libre-échange".

Sur la Grèce ? "Il faut arrêter de pointer toujours l’autre. On ne peut pas continuer comme ça. Il faut une nouvelle définition du bien commun européen, de la solidarité européenne".

L'élection législative partielle de Villeneuve-sur-Lot ? "Au vu de ce résultats, ce qui est sûr, c’est qu’une partie de l’électorat de gauche ne comprend pas la politique de ce gouvernement et de François Hollande. Il faut que les socialistes clarifient leur vision politique".

Eric Woerth, député UMP, sur Europe 1

L'arbitrage de l'affaire Tapie ? "Ce n'était pas un sujet qui occupait l'ensemble de l'Etat. Je revendique l'idée qu'un homme politique peut agir contre l'avis de ce cabinet". (...) "Mme Pellerin dénonce un système. Je dis oui il y a un système mais anti-Sarkozy. Au fond la campagne de 2017 est quasiment partie. Les membres du gouvernement devraient faire très attention quand ils parlent de l'ancien président, de l'ancien gouvernement. Quand une affaire est devant la justice, laissons la sereinement dire les choses". 

Sarkozy touché ? "les attaques ne l'intimident pas du tout, c'est de nature à le stimuler. Il ne devrait pas y avoir tout ce déballage dans la presse".