Commémoration du 8 mai : ce qu'il ne fallait pas manquer de la cérémonie<!-- --> | Atlantico.fr
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François Hollande était accompagné du président polonais Bronislaw Komorowski, invité des commémorations.
François Hollande était accompagné du président polonais Bronislaw Komorowski, invité des commémorations.
©Reuters

Devoir de mémoire

François Hollande a présidé les cérémonies du 8 mai commémorant la victoire sur le nazisme à l'issue de la Seconde guerre mondiale.

Comme l'an passé, la commémoration du 8 mai s'est déroulée sous un temps pluvieux. Mais cette année, François Hollande a présidé seul les cérémonies, qui célèbrent la victoire sur le nazisme à l'issue de la Seconde Guerre mondiale. En 2012, deux jours après son élection, il avait participé aux célébrations aux côtés de Nicolas Sarkozy. Après un dépôt de gerbe au pied de la statue du général de Gaulle, en bas des Champs-Elysées, le chef de l'Etat a remonté l'avenue jusqu'à la place de l'Etoile où il a passé les troupes en revue, avant la traditionnelle cérémonie sur la tombe du soldat inconnu.

François Hollande était accompagné du président polonais Bronislaw Komorowski, invité des commémorations. La Pologne a particulièrement souffert de l’occupation nazie durant le conflit et les Polonais ont joué un rôle important dans la Résistance intérieure en France. Ils ont ranimé ensemble la flamme sur la tombe du soldat inconnu sous l’arc de triomphe, avant que soient interprétés les hymnes nationaux et le Chant des partisans qui célèbre la résistance à l’occupant.

Interrogé à l’issue des cérémonies sur les récentes tensions entre la France et l’Allemagne, le président a souligné que Paris et Berlin doivent aujourd’hui se "retrouver ensemble pour une Europe qui soit celle de la croissance et de l’emploi". "C’est le sens du débat que nous avons engagé (...) Il y a un débat et à la fin ça se passe toujours avec un compromis entre la France et l’Allemagne, ce sera encore le cas pour les grands dossiers que nous avons à régler", a-t-il déclaré sur France2.

A propos du climat politique un an après son élection, il a souligné qu'"il n’y a pas de célébration" mais "une obligation de réussir". "Je veux dire aux Français, y compris dans ce moment de gravité, de souvenir, que nous sommes en train de préparer un avenir, nous le faisons en Europe, nous le faisons en France", a-t-il déclaré.

Lu sur Libération

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