Arnaud Montebourg affirme avoir sauvé plus de 65 000 emplois en un an<!-- --> | Atlantico.fr
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"Notre travail est de prendre un à un les dossiers sans abandonner une seule de nos entreprises", a déclaré le ministre.
"Notre travail est de prendre un à un les dossiers sans abandonner une seule de nos entreprises", a déclaré le ministre.
©Reuters

Auto-congratulation

Dans un entretien accordé au Monde, le ministre du Redressement productif estime avoir sauvé 84,7% des emplois menacés sur 500 dossiers.

Dans un entretien accordé au Monde, Arnaud Montebourg estime avoir sauvé 84,7% des emplois menacés sur 500 dossiers traités par ses services. Au final, cela représenterait donc 65 031 emplois sauvés, assure le ministre du Redressement productif.

"Notre travail est de prendre un à un les dossiers sans abandonner une seule de nos entreprises", a-t-il ajouté en reconnaissant cependant que l'"Etat ne disposait pas d’un pouvoir divin mais pouvait obtenir beaucoup".

Sur le dossier PSA, le ministre défend une nouvelle fois son action : "Nous n'avons pas déserté. PSA va perdre 8 000 emplois, ce qui est terrible, mais notre rôle est de garantir un avenir aux 90.000 autres salariés du groupe. Notre politique, c'est le donnant-donnant".

Au sujet de Florange, qui a fermé ses portes malgré son désaccord, Arnaud Montebourg a reconnu que les choix du gouvernement se sont imposés à lui. "Sur Florange, le Premier ministre a fait des choix et ils s'imposent à moi. J'avais présenté ma démission, puis décidé, à la demande du président de la République, de rester à mon poste de combat", a-t-il déclaré.

Selon lui, "La nationalisation temporaire" évoquée à plusieurs reprises, "reste sur la table". "C'est un outil à la disposition de tout gouvernement souverain, qui est d'ailleurs utilisé par des pays comme le Japon ou la Nouvelle-Zélande", a-t-il finalement ajouté.


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