Les chantiers de l'Atlantique menacés ? Pierre Moscovici rassure<!-- --> | Atlantico.fr
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"Nous suivons cette situation de près", a déclaré le ministre à l'AFP.
"Nous suivons cette situation de près", a déclaré le ministre à l'AFP.
©Reuters

Crise sociale

Le groupe sud-coréen de construction navale STX, qui possède les deux tiers du capital de STX France (chantiers navals de Lorient et Saint-Nazaire), envisage de vendre ses actifs en Europe.

Le groupe sud-coréen de construction navale STX, lourdement endetté, envisage de vendre ses actifs en Europe, a annoncé samedi 4 mai un porte-parole du groupe.La restructuration devrait notamment toucher les chantiers navals en France et en Finlande, ainsi qu'en Chine.

"Nous sommes en train de revoir la structure de notre société pour nous concentrer sur la construction navale nationale", a indiqué un porte-parole du groupe sud-coréen. "Dans ce contexte, nous envisageons la vente d'actifs à l'étranger pour lever de nouvelles liquidités", a-t-il ajouté.

La dette du groupe STX s'élève à plus de 911 millions de dollars (695 millions d'euros), selon son principal créancier, la banque coréenne KDB.

"Nous suivons cette situation de près", a déclaré le ministre des Finances Pierre Moscovici à l’AFP, ajoutant que le gouvernement avait "toujours manifesté " son " attachement aux chantiers de l’Atlantique", et qu’il serait animé de la " volonté de garder l’emploi et l’excellence".

STX Europe emploie 14.500 personnes, notamment en France, en Finlande et en Norvège.

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