Pyrénées : le corps d'une randonneuse dévoré par des vautours en seulement deux heures<!-- --> | Atlantico.fr
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Des vautours ont dévoré le corps d'une randonneuse après qu'elle ait chuté de 300 mètres dans les Pyrénées-Atlantiques.
Des vautours ont dévoré le corps d'une randonneuse après qu'elle ait chuté de 300 mètres dans les Pyrénées-Atlantiques.
©Reuters

Les oiseaux

Les secouristes n'ont retrouvé que des ossements de la randonneuse qui est décédée en chutant de 300 mètres.

Randonnée mortelle. Selon le Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) cité par l'AFP, des vautours aurait dévoré en seulement deux heures le corps d'une randonneuse âgée de 53 ans décédée après une chute de 300 mètres dans les Pyrénées-Atlantiques. Un secouriste du PGHM a ainsi expliqué que ce 14 avril, les secours sont "arrivés sur les lieux en hélicoptère environ deux heures après l'accident, il ne restait que les ossements".

Le secouriste a par ailleurs précisé que "le médecin du Smur d'Oloron a constaté que la randonneuse, originaire de Cambo (Pyrénées-Atlantiques), était décédée de multiples fractures", ajoutant qu'"elle n'a pas survécu à la chute". Et d'assurer que les "équipes de secours et le médecin ont remarqué la présence de vautours ainsi que des traces de pattes de vautour sur la neige à proximité des ossements […]. Leur présence laisse penser qu'ils ont dévoré le corps en très peu de temps".

Pour rappel, la randonneuse n'était pas seule lorsqu'elle a glissé sur la neige avant de dévisser sur une succession de barres rocheuses d'un dénivelé d'environ 300 m pour s'arrêter au pied de la face nord du pic de Pista dans les Pyrénées à 1 779 mètres d'altitude. Elle était en effet accompagnée de son mari ainsi que d'un ami selon TF1 News. Ces derniers n'ont toutefois pas réussi à retrouver la chuteuse et ont donc appelé le PGHM qui est arrivé près d'une demi-heure plus tard pour découvrir le corps complètement dévoré par les vautours. En plus des ossements, il ne restait en effet au sol que des habits et des chaussures.

Lu sur Le Point.fr

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