Nigéria : l'exécution de sept otages revendiquée par Ansaru<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Nigéria : l'exécution de sept otages revendiquée par Ansaru
©

Ca reste à confirmer

Deux Syriens, deux Libanais, un Grec, un Britannique et un Italien avaient été enlevés par

Les sept otages ont été enlevés il y a trois semaines par des hommes armés à Jama, au nord du Nigeria. Ces employés d'une société de construction libanaise  pourraient être décédés, selon les informations rapportées par le réseau SITE, sans que cette information puisse être confirmée.

Le groupe islamiste nigérian Ansaru a annoncé samedi avoir tué les sept étrangers : deux Libanais, deux Syriens, un Grec, un Italien et un Britannique. "Dans le communiqué, le groupe a déclaré que suite aux actions menées par les gouvernements britannique et nigérian pour libérer les otages, et aux arrestations et aux exactions qu'ils auraient perpétrées, il a été poussé à exécuter" les otages, explique le réseau américain de surveillance des sites islamistes SITE.

Le communiqué est rédigé en arabe et en anglais. SITE évoque aussi "des captures d'écrans" d'une vidéo "montrant les otages morts". Les autorités du Nigeria et les services diplomatiques des pays d'origine présumés des sept otages n'ont pas confirmé leur décès.

Dans un communiqué adressé à des journalistes deux jours après l'enlèvement, Ansaru avait affirmé avoir "en otages sept personnes, dont des Libanais et leurs collègues européens, travaillant pour Setraco". Le groupe Ansaru avait justifié son action par "des transgressions et des atrocités commises envers la religion d'Allah (...) par les pays européens dans plusieurs endroits, dont l'Afghanistan et le Mali".

Lu sur Le Parisien

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !