Corée du Nord : de nouvelles sanctions imposées par l'ONU malgré la menace de Pyongyang<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Corée du Nord : de nouvelles sanctions imposées par l'ONU malgré la menace de Pyongyang
©

Frontal

La résolution du Conseil, proposée par plusieurs pays (dont la France) et adoptée à l'unanimité de ses 15 membres, s'efforce de tarir les sources de financement utilisées par Pyongyang.

La Corée du Nord est dans l'oeil du cyclone. Et le Conseil de sécurité de l'ONU a pris de nouvelles décisions jeudi. Il a en effet imposé une série de sanctions, notamment financières au pays en réaction au troisième essai nucléaire mené en février. La résolution du Conseil, proposée par plusieurs pays (dont les États-Unis, le Royaume-Uni, la Corée du Sud et la France) et adoptée à l'unanimité de ses 15 membres, s'efforce de tarir les sources de financement utilisées par Pyongyang pour nourrir ses ambitions militaires et balistiques. Elle met sous surveillance les diplomates nord-coréens et élargit une liste noire de particuliers et entreprises soumis à des gels d'avoirs ou à des interdictions de voyager.

Les 15 pays membres du Conseil ont manifesté "la plus grande inquiétude" face à cette situation. Ils se sont dit prêts à prendre d'"importantes mesures supplémentaires", non précisées, si Pyongyang procède à un nouvel test de bombe atomique ou à un nouveau tir de fusée.

Sans attendre le vote à l'ONU, la Corée du Nord a poursuivi l'escalade verbale, accusant les États-Unis de vouloir déclencher une guerre atomique et menacé Washington d'une frappe nucléaire "préventive". Pyongyang avait déjà fait monter la tension mardi en menaçant de dénoncer l'accord d'armistice mettant fin à la guerre de Corée en 1953. La tension monte...

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !