Oscar Pistorius : l'affaire rebondit encore, Nike se désengage<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Oscar Pistorius au tribunal
Oscar Pistorius au tribunal
©REUTERS/Siphiwe Sibeko

Suite du feuilleton

L'enquêteur principal dans l'affaire Pistorius, Hilton Botha, lui-même accusé de tentatives de meurtre, n'a pas été dessaisi de l'affaire "pour l'instant".

Nouveau rebondissement de l'affaire Pistorius. Hilton Botha, le principal enquêteur est lui-même accusé de tentatives de meurtre a indiqué une source du Parquet national. "Mais pour l'instant, il est encore sur l'affaire" a affirmé le porte-parole Neville Malila, démentant une information de l'agence radio EWN, qui citait un représentant du Parquet selon lequel M. Botha "ne (pourrait) pas poursuivre cette enquête".

L'inspecteur Botha a dirigé l'enquête au domicile d'Oscar Pistorius, le champion paralympique soupçonné du meurtre de sa petite amie Reeva Steenkamp le 14 février. "Nous n'avons été informés qu'hier (mercredi) que les accusations de tentatives de meurtre avaient été rétablies contre Hilton Botha", a expliqué à l'AFP le porte-parole de la police.

Selon les informations disponibles jeudi, l'officier de police avait été poursuivi après les faits, puis le dossier avait été classé, avant d'être rouvert récemment. Hilton Botha a été totalement déstabilisé mercredi par l'avocat de la défense Barry Roux, qui a pointé une par une les failles d'une enquête apparemment mal ficelée.La brillante contre-attaque de l'avocat a donné l'impression au public que le dossier de l'accusation s'effondrait pan par pan, alors qu'Oscar Pistorius demande à être libéré sous caution.

Par ailleurs, Nike a suspendu le contrat qui le liait à Oscar Pistorius, a informé la marque américaine, qui a également suspendu ses paiements. Après Clarins, c'est un autre gros sponsor qui prend ses distances avec l'athlète sud-africain. 

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !