Goodyear : la responsabilité de la CGT dans le départ de Titan est pointée du doigt<!-- --> | Atlantico.fr
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1173 personnes pourraient perdre leur emploi
1173 personnes pourraient perdre leur emploi
©Reuters

A suivre...

"Titan n'est pas parti pour rien" selon Marc Jonet, le délégué central CFE-CGC.

Alors que le Comité Central de l'Entreprise se rassemblait mardi matin, la direction de Goodyear a appris aux représentants syndicaux que Titan, le repreneur potentiel du site, se retirait du dossier. 

"Cela a été une grande déception d'apprendre que Titan se retirait de sa position de potentiel repreneur. On gardait l'espoir qu'il revienne. Titan a déjà racheté les activités agraires de Goodyear aux États-Unis et à Sao Paulo et proposait de garder 537 salariés d'Amiens Nord", a indiqué le délégué central CFE-CGC Marc Jonet. Selon lui, "aujourd'hui, sans repreneur, la situation s'assombrit". "Pour éviter de laisser sur la touche 1173 personnes, la négociation d'un plan de départs volontaires serait bienvenue. On n'en est pas là. On devra se référer à l'expertise", a-t-il dit. Selon lui, la négociation a pris "du plomb dans l'aile à cause du jusqu'au-boutisme du syndicat majoritaire [la CGT]". "Titan n'est pas parti pour rien" a-t-il ajouté.

Au même moment des milliers de personnes se sont rassemblées pour manifester devant le siège de Goodyear France, à Rueil-Malmaison où se tenait la réunion, dans une atmosphère très tendue.

De son côté, Arnaud Montebourg a "mandaté l'Agence française des investissements internationaux pour la recherche d'un repreneur pour ce site de production de pneus".

Lu sur Le Figaro.fr

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