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Jérôme Garcin,
juge et partie
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Son excellence, monsieur mon ami

Critique littéraire influent et écrivain encensé par les médias : Acrimed dénonce le mélange des genres.

Alors que s'ouvre au public, ce vendredi 18 mars, le Salon du livre de Paris,  l'Observatoire des médias Acrimed revient à la charge pour souligner une nouvelle fois le mélange des genres pratiqué par Jérôme Garcin, à la fois journaliste culturel influent et auteur de romans recevant systématiquement les louanges des autres médias.

Directeur du Service culturel du Nouvel Observateur, producteur et animateur du Masque et la Plumesur France Inter et membre de plusieurs jurys de prix littéraires, Jérôme Gracin est aussi un écrivain dont la production littéraire reçoit des critiques dithyrambiques (40 avis positifs sur 40 critiques pour son dernier ouvrage).

Partant de ce constat, Acrimed  souligne, citations à l'appui : "des pratiques très répandues dans le microcosme littéraire : copinage (de la part des copains), connivence (de la part des collègues) et renvoi d’ascenseur (de la part de tous les autres, écrivains ou futurs écrivains)".

Le site de critique des médias se garde bien de juger la qualité de l'œuvre de l'écrivain, mais fustige la double casquette d'un journaliste qui, il y a 20 ans, estimait : "Je crois qu’on ne peut pas faire ce métier de critique littéraire, de journaliste culturel [et être écrivain]". 

Lu sur Acrimed

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