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 Près de 90% des amants délaissés espionneraient leurs ex sur les réseaux sociaux
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Cyber-espionnage

Facebook serait un danger pour ceux qui viennent de rompre, selon une thèse publiée au Canada.

Le cyber-espionnage post-rupture amoureuse, vous connaissez ?  C’est un syndrome qui peut apparaître après avoir été largué par son, ou sa petite amie.

Selon une étude réalisée par Veronika Lukacs, 25 ans, étudiante de l’Université Western Ontario au Canada, près de 90% des amants délaissés se connectent sur le compte d’un ami pour espionner la personne qui les a largué, scrutant le ou la remplaçant (e) présumé (e). 

« Avant, quand on se séparait, c’était fini », rapporte l’étudiante canadienne, qui a étudié les conséquences des ruptures amoureuses sur les réseaux sociaux, et notamment Facebook.

Selon sa thèse, 48 % des couples séparés restent amis sur Facebook avec leur ex.74% avouent garder un œil sur le nouvel amant de leur ex. Et parmi ceux qui ne sont plus « amis » sur Facebook, 70% avouent utiliser le compte d’un ami commun pour espionner leur ancien compagnon.

« Il me semblaitque les gens qui n’étaient pas amis avec leurs petits amis sur Facebook, seraient moins tentés de les espionner. Au contraire ! » ajoute-t-elle. « Mais moins surprenant, ceux qui ont été largués sont aussi les plus voyeurs » observe Veronika Lukacs qui a sondé un échantillon de 107 étudiants de son université, 18 ans d'âge moyen, ayant vécu une peine de coeur dans l'année.

Beaucoup avouent qu’ils sont conscients que leur comportement est inapproprié, mais le font quand même. Très embarrassé, un étudiant a même confié qu’il avait piraté le compte Facebook de son ex-petite amie.

Changer ses mots de passe après une rupture ou supprimer un ex de sa liste d’amis : une solution brusque, nécessaire, mais pas forcément suffisante. 

Lu sur Dailymail.com

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