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PSA Peugeot Citroën : Moscovici répète que le plan n'est "pas acceptable en l'état"
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Persiste et signe

Arnaud Montebourg recevra les représentants syndicaux et le président du directoire, Philippe Varin.

Le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici, a répété aujourd'hui que le plan de 8.000 suppressions de postes de PSA Peugeot Citroën n'était "pas acceptable" et a renvoyé à l'annonce le 25 juillet du plan du gouvernement pour "toute la filière" automobile. "Le plan soumis au Comité central d'entreprise n'est pas acceptable en l'état, il faut en améliorer considérablement la qualité", a-t-il déclaré, reprenant les termes exacts du président François Hollande la veille.

Refusant de donner tout détail sur ce que pourrait comporter le plan automobile du gouvernement qui sera présenté en conseil des ministres le 25 juillet, Pierre Moscovici a cependant précisé que "ce ne serait pas un "plan Peugeot" mais un plan pour toute la filière, PSA, Renault et la sous-traitance", précisant dans la foulée: "en tenant compte des règles européennes". "Nous ne sommes pas démunis", a-t-il assuré.

Le 25 juillet se tiendra aussi le prochain Comité central d'entreprise de PSA qui marquera le début de la négociation entre direction et syndicats sur les mesures radicales annoncées le 12 juillet.

Auparavant, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, aura reçu ce mardi les représentants syndicaux du constructeur automobile et ce mercredi le président du directoire, Philippe Varin. François Hollande a renvoyé ce samedi PSA à ses responsabilités en incriminant "des choix stratégiques qui n'ont pas été bons".

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