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Pour Ségolène Royal, la présidence de l’Assemblée nationale c’est déjà "grillé"
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Démotivation

Ségolène Royal s’est confiée au journal espagnol El Pais.

Ségolène Royal s’est confiée au journal espagnol El Pais. Résignée, elle explique au sujet de sa volonté de devenir présidence de l’Assemblée Nationale : «C'est grillé, les grands machos ne pouvaient pas le tolérer.»

Les machos, ce sont les grands noms du PS et de l’UMP : «Il y a beaucoup de jalousie, de ressentiment et de machisme. Les vieux appareils de la droite et de la gauche ne peuvent accepter que je préside l'Assemblée nationale. (…) L'ancien appareil socialiste, Philippe Marchand et Lionel Jospin, et à droite Jean-Pierre Raffarin, qui n'a pas pu être président du Sénat, ne pouvaient pas supporter ça. Ce sont les mêmes qui ne supportaient pas que je sois candidate à l'élection présidentielle.»

A-t-elle totalement baissé les bras dans la course des législatives pour la 1ère circonscription de La Rochelle? Pas tout à fait. "C'est difficile de l'emporter mais pas impossible", juge l'ancienne candidate à la présidentielle dans un premier temps, rappelant qu'il y a "20% d'indécis" et deux fois plus d'abstentionnistes qui peuvent encore changer la donne".

Quant au très controversé tweet de soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni, Ségolène Royal refuse de commenter mais glisse: "C'est incompréhensible. On dirait que les principes politiques ne comptent plus. J'ai l'appui du chef de l'Etat, du Premier ministre et du parti".

Lu sur le Huffington Post

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