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Écartée du poste de 
Premier ministre, 
Martine Aubry se venge
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Plat chaud

Deux proches de François Hollande se sont vu refuser in extremis l'investiture aux législatives.

Blessée par le choix de Jean-Marc Ayrault qui lui a ravi le poste de Premier ministre, Martine Aubry a refusé d'entrer au gouvernement, et n'entend pas en rester là.
La première secrétaire du Parti socialiste a déjà fait jouer son pouvoir de nuisance.
Deux proches de François Hollande se sont vu refuser in extremis l'investiture aux législatives, hier mercredi, lors d'une réunion du secrétariat national du parti qui traitait des derniers points chauds pour les élections de juin.
Les alliés de Martine Aubry ont coupé l'herbe sous le pied des candidats hollandais. La première circonscription de la Somme était promise à Faouzi Lamdaoui, chef de cabinet de François Hollande durant la campagne présidentielle, les aubrystes ont finalement décidé d'accorder l'investiture socialiste à l'une des leurs, Pascale Boistard, adjointe au maire de Paris.
Dans la douzième circonscription des Hauts-de-Seine, c'est Juliette Méadel, conseillère municipale à Paris et membre de l'équipe de campagne du candidat socialiste à la présidentielle, qui tenait la corde. Jean-Marc Germain, directeur de cabinet d'Aubry au PS et à la mairie de Lille, lui a été préféré.
Les partisans de François Hollande étaient prêts à consentir un compromis : garder la Somme, et abandonner les Hauts-de-Seine à leurs rivaux. Mais les aubrystes, majoritaires au secrétariat national, n'ont rien voulu entendre. 
Lu sur Le Nouvel Obs

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