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Soirée en boîte de Christophe Castaner : les syndicats dénoncent une "faute professionnelle"
©BERTRAND GUAY / AFP

Nuit agitée

"C'est une vraie connerie. Difficile d'être crédible et audible après", estime un syndicaliste.

La soirée agitée de Christophe Castaner en boîte de nuit continue à faire des vagues. Pour rappel, après la journée du samedi 9 mars, où la mobilisation des gilets jaunes s'est déroulé sans trop de dégâts, le ministre de l'Intérieur s'est rendu au Noto, restaurant branché situé au premier étage de la salle Pleyel, où il a laissé ses deux officiers de sécurité à la porte du restaurant. Après quelques shots de vodka, le ministre a déboulé sur le dancefloor et esquissé quelques pas avant de fricoter avec une jeune femme, sous l'oeil de nombreux smartphones.

Vendredi, le ministre a assuré que sa "sécurité est toujours assurée" et en a appelé au respect de sa vie privée. ""Il n'y a pas de polémique, ma sécurité est toujours assurée. Mais nous étions dans un lieu privé, un restaurant, et elle sait se faire efficace et discrète", a assuré Christophe Castaner.

Mais ce n'est pas l'avis de tout le monde. "C’est une faute professionnelle quand vous êtes premier flic de France. Samedi, on demandait aux policiers et aux gendarmes une mobilisation sans précédent sur les Gilets jaunes et nous allons être la risée de tous !", s’indigne un responsable policier dans Le Parisien. "Les syndicats ne bougeront pas, à part peut-être certains minoritaires. Mais c’est une vraie connerie. Difficile d’être crédible et audible après", renchérit un syndicaliste dans le journal francilien.

Le Parisien

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