Course contre la montre à Marseille pour retrouver les riverains coincés sous les décombres<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Course contre la montre à Marseille pour retrouver les riverains coincés sous les décombres
©GERARD JULIEN / AFP

Effondrement

Le ministre en charge du Logement, Julien Denormandie s'est rendu à Marseille où deux immeubles se sont effondrés dans le centre de la ville.

Julien Denormandie est arrivé à Marseille ce lundi après-midi où, plus tôt dans la journée, deux immeubles situés dans le centre de la ville se sont effondrés. Le ministre du Logement a expliqué qu'une course contre la montre  s'est enclenchée pour sécuriser les lieux alors qu'un troisième immeuble menace de s'effondrer.

"Nos équipes travaillent d’arrache-pied pour essayer de déterminer si oui ou non des personnes sont coincées" a-t-il expliqué alors que l'on ignore encore si des personnes sont actuellement coincées sous les décombres.

"Deux immeubles se sont effondrés, le numéro 63 était effectivement sous un arrêté de péril qui fait qu’il n’était a priori pas occupé au moment du drame. Le numéro 65 lui, contient une dizaine d’appartements, donc il y a une dizaine de personnes ayant des baux, ce sont ces personnes dont nous sommes à la recherche, nous essayons de rentrer en contact avec les familles concernées pour essayer de déterminer si certaines sont sous les gravats" détaille Julien Denormandie qui parle d'une course contre la montre "menée avec beaucoup de détermination".

"L’urgence, c’est de sécuriser ce site, de déterminer s’il y a ou non des personnes que l’on peut sauver, c’est ce sur quoi nous travaillons" a expliqué le ministre assurant que le gouvernement prenait le problème des logements insalubles "à bras-le-corps".

Lu sur BFMTV

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !