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Affaire des emplois fictifs : la mise en examen de Marine Le Pen est aggravée par les juges en "détournements de fonds publics"
©JEAN-PHILIPPE KSIAZEK / AFP

Rassemblement national

La fille de Jean-Marie Le Pen était entendue dans le cadre de l'enquête sur les emplois présumés fictifs de son parti au Parlement européen.

Selon des informations de BFM TV, les juges ont aggravé la mise en examen de Marine Le Pen au sujet de l'affaire judiciaire des emplois fictifs au sein du Parlement européen. Elle vient d'être requalifiée en "détournements de fonds publics".

Cette convocation correspondait à la première audition de Marine Le Pen depuis sa mise en examen en juin dernier pour "abus de confiance" et "complicité d'abus de confiance". 

Dans cette affaire, le compagnon de Marine Le Pen, Louis Alliot, et Nicolas Bay sont poursuivis pour les mêmes faits. 

Ces délits sont passibles de trois de prison et de 375.000 euros d'amende. 

Les magistrats cherchent en réalité à savoir si le Front national, l'ancêtre du Rassemblement national, avait mis en place un système afin de rémunérer ses collaborateurs en utilisant et en détournant des fonds européens. Au total, 17 eurodéputés RN sont visés par cette enquête. 

Marine Le Pen a contesté les faits et a refusé de s'exprimer ce vendredi. 

Les juges ont donc aggravé ce vendredi l'inculpation de Marine Le Pen, requalifiée pour "détournements de fonds publics". 

Une nouvelle audience décisive pour Marine Le Pen et le Rassemblement national doit se dérouler à la fin du mois de novembre. 

Lu sur BFM TV

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