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Après les manifestations de mardi, Emmanuel Macron estime qu'"il n'y a pas de convergence des luttes"
©ludovic MARIN / AFP / POOL

Droit dans ses bottes

Emmanuel Macron maintient le cap des réformes malgré la vague de mobilisations depuis le début de l'année 2018 dans la fonction publique, chez les étudiants ou bien encore les cheminots.

Selon des révélations du porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, le président de la République a estimé ce mercredi en Conseil des ministres que la mobilisation du mardi 22 mai était "moindre que celle de mars, ce qui tend à confirmer l'idée qu'il n'y a pas de convergences des luttes". 

Benjamin Griveaux a donc relayé les propos du chef de l'Etat lors du compte-rendu du Conseil des Ministres. Emmanuel Macron a également tenu à souligner le "soutien croissant de la population à la réforme ferroviaire".
"Dans ce contexte, il y a un rendez-vous important fixé à la fin de la semaine pour cette réforme du service public ferroviaire, avec un point d'attention particulier notamment sur les questions de reprise de la dette".
Concernant la "Vot'action" des cheminots, Emmanuel Macron a estimé qu'"avec un score important, elle ne dit pas comment il est envisageable de sortir de la crise". Cette consultation interne lancée le 14 mai a récolté un taux de participation de 61,15%. Laurent Brun, le secrétaire général de la CGT cheminots a indiqué que 94,97% des votants ont rejeté le projet de réforme de la SNCF. 
Après ces déclarations lors du Conseil des ministres, Emmanuel Macron reste donc déterminé et ferme dans sa conduite des réformes et notamment celle de la compagnie ferroviaire française.
Lu sur Le Figaro

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