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"Une chose est de boire trop, une autre d’être pris pour un pervers et un raciste" : Jean-Vincent Placé présente ses excuses mais conteste une partie des faits reprochés
©Reuters

Mea culpa

"Je mesure bien la honte et l’indignité d’avoir été en état d’ébriété, d’avoir eu un comportement déplacé" a-t-il indiqué dans les colonnes de Paris Match.

Jean-Vincent Placé fait acte de contrition dans Paris Match. La semaine dernière, l’ancien secrétaire d’Etat avait été placé en garde à vue à Paris après une soirée fortement arrosée. "Je mesure bien la honte et l’indignité d’avoir été en état d’ébriété, d’avoir eu un comportement déplacé et inconvenant. J’en paierai les conséquences. Je le dois à ma famille auprès de laquelle je m'excuse aussi" a-t-il indiqué au téléphone à une journaliste de l’hebdomadaire. Il affirme également avoir pris conscience "que, dans les derniers mois, j’avais bu excessivement en diverses circonstances. Il y a eu des excès, de l’alcoolisme".

En revanche, Jean-Vincent conteste avoir proféré des insultes à l’encontre d’une jeune femme et les injures à caractère raciste à l’encontre du videur. "Une chose est de boire trop, une autre d’être pris pour un pervers et un raciste. Je n’ai jamais insulté cette jeune femme. Elle l’a confirmé lors de la confrontation. Je n’ai jamais proféré d’insulte raciste. Encore moins avec ce videur qui se fait appeler Vladimir et se prétend serbe. Lui m’a mis une gifle, mes lunettes sont tombées, elles se sont cassées en deux. L’outrage aux policiers est à replacer dans ce contexte d’énervement".

L’ancien élu écologiste souhiate donc présenter ses excuses... "mais après, je veux qu’on me laisse tranquille" conclut-il.

Lu sur Paris Match

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