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Pour Emmanuel Macron, l'assassinat du préfet Érignac "ne se justifie pas, ne se plaide pas"
©PASCAL POCHARD-CASABIANCA / AFP

Prise de parole

Le chef de l'Etat, en déplacement en Corse, a estimé que l'île, "terre de fierté et de dignité, a été salie par ce crime".

"La Corse, terre de fierté et de dignité, a été salie par ce crime". A l'occasion de son déplacement en Corse, Emmanuel Macron a rendu hommage au préfet Claude Erignac, assassinée par un commando nationaliste il y a vingt ans jour pour jour, à Ajaccio. Cet assassinat "ne se justifie pas, ne se plaide pas" a lancé le chef de l'Etat. Des mots que l'on retrouve également sur le compte Twitter du président de la République : "Le 6 février 1998 ne s’excuse pas, ne se plaide pas, ne s’explique pas. On a tué un homme parce qu’il était serviteur de la République. On a arraché un époux, un père à sa famille. Deux infamies".

Cet hommage a été rendu en présence de la veuve du préfet, Dominique Erignac, qui revenait en Corse pour la première fois depuis la mort de son mari. Etait également présent sur place le président nationaliste du Conseil exécutif Gilles Simeoni, mais pas le président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, qui explique son refus d’y participer par son "histoire politique".

Le chef de l'Etat rencontrera les deux hommes dans la soirée avant de prononcer un discours sur l'avenir institutionnel de l'île de Beauté.

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