Non merci
Paris : des métros ne veulent plus marquer l'arrêt en raison des violences
Les fumeurs de crack rendent certaines stations dangereuses.
Marx Dormoy et Marcadet – Poissonniers. Situées dans le nord de Paris, ces deux stations de métro sont devenues le cauchemar des utilisateurs et des conducteurs de trains. Certains d'entre eux ont même décidé de ne plus y marquer l'arrêt. La raison ? Les violences liées à la drogue et plus particulièrement à un fléau : le crack. "Entre les rixes qu'il peut y avoir sur les quais, qui se terminent parfois directement dans la rame, ou des traversées de voie, vous pouvez en percuter un, ou l'écraser. Avec toutes les conséquences en matière de police, ou psychologique, qu'il peut y avoir pour les conducteurs" explique Jean-Marc Judith, délégué syndical à la RATP au micro de RTL.
Les syndicats précisent que le fait de ne pas marquer l'arrêt reste une décision personnelle des conducteurs et non une consigne officielle. Une table ronde sur la sécurité est prévue le 19 janvier prochain.
Donc si demain on vend du crack à République, celle-ci ne sera plus desservie ? Triste symbole ! Et si on arrêtait les mesures molles du type « tables rondes » et qu’on envoyait enfin la police nettoyer les quais de la présence de ces dealers ? https://t.co/cT7huQlN5c
— Julien Aubert (@JulienAubert84) 16 janvier 2018
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