Policiers tués à Magnanville : rebondissement dans l'enquête, un suspect arrêté<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Policiers tués à Magnanville : rebondissement dans l'enquête, un suspect arrêté
©DOMINIQUE FAGET / AFP

Justice

Un nouvel ADN a été retrouvé sur la scène de crime. Le troublant profil du suspect a été révélé.

C’est un nouveau rebondissement dans l’affaire de Magnanville (Yvelines), où deux policiers, Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, avaient été assassinés devant leur fils à leur domicile, le 13 juin 2016. Un nouvel ADN a été retrouvé sur le clavier de l’ordinateur portable des victimes, qui avait été manipulé par l’assassin Larossi Abballa. Ce dernier a été tué par le Raid et était jusqu’ici considéré comme le seul coupable. Selon Le Parisien, un homme a été arrêté ce lundi 11 décembre.

Marié avec l’une des suspectes du commando dit des bonbonnes de gaz

Il se prénomme Mohamed Lamine A.. Il s'agit d'un Marocain âgé de 24 ans. Il est soupçonné d’être directement impliqué dans l’assassinat du couple de policiers. L'homme radicalisé est connu des services spécialisés. Proche de Larossi Abballa, il avait déjà été entendu dans le cadre de cette enquête sous le régime de la garde à vue, indique le quotidien. Il était sous surveillance depuis plusieurs semaines. Fait troublant, Mohamed Lamine A. est par ailleurs marié religieusement avec Sarah H., l’une des suspectes du commando dit des bonbonnes de gaz, retrouvées à Paris. Il avait également été entendu dans ce dossier.

Deux hommes ont déjà été mis en examen dans l'affaire de Magnanville : Charaf-Din A., le frère de Mohamed Lamine A., et Saad Rajraji. Les enquêteurs doivent maintenant déterminer comment l'ADN de Mohamed Lamine A. s’est retrouvé sur la scène de crime. L'homme devrait être présenté dans l’après-midi à un juge en vue d’être mis en examen.

Lu sur Le Parisien

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !