Prêt à taux zéro, CITE : Emmanuel Macron fait quelques concessions aux professionnels du bâtiment<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Prêt à taux zéro, CITE : Emmanuel Macron fait quelques concessions aux professionnels du bâtiment
©LUDOVIC MARIN / AFP

Du lest

Le chef de l'Etat était en déplacement ce vendredi aux "24 heures du bâtiment".

Poursuite du prêt à taux zéro (PTZ), discussions sur le crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE)… Emmanuel Macron a mis de l'eau dans son vin. Le chef de l'Etat était en déplacement ce vendredi aux "24 heures du bâtiment", un événement organisé par la fédération du secteur (FFB). Le président de la République a fait une série d'annonces sur un certain nombre de dispositifs prévus dans le cadre du plan logement dévoilé le mois dernier.

"Je vous ai entendu et j'ai aussi entendu les maires ruraux qui nous ont alertés sur le fait que ça pouvait, chez eux, freiner l'activité, en tout cas donner le sentiment d'une fracture qui pouvait s'installer", a-t-il indiqué. "Ce que je demande au gouvernement c'est de garder la philosophie d'ensemble de la réforme, mais que sur le PTZ, on puisse ouvrir très rapidement, la semaine prochaine, une concertation". Alors que le PTZ permet de financer jusqu'à 40% du coût d'une opération, il a émis la possibilité d'en ramener le plafond à 20% dans ces zones non prioritaires. 

Concernant les chaudières au fioul, qui devaient être privées de crédit d’impôt transition énergétique (CITE); Emmanuel Macron a estimé qu'il "ne faut pas arrêter certaines chaudières fioul qui étaient respectueuses de l’environnement  et que vont plutôt chercher les classes moyennes ou les classes populaires dans la France rurale ou périphérique" .

Lu sur Les Echos

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !