Jean-Vincent Placé jette l'éponge pour les sénatoriales<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Jean-Vincent Placé jette l'éponge pour les sénatoriales
©Reuters

Fin de partie ?

L'ex-secrétaire d'Etat Jean-Vincent placé a confié abandonner l'idée de se représenter aux élections sénatoriales fin septembre et a confié vouloir prendre du recul sur la vie politique.

Après son agression ce week-end à Paris le sénateur de l'Essonne a décidé de ne pas se représenter aux prochaines sénatoriales qui auront lieu le 24 septembre. "J'y réfléchissais depuis longtemps" a-t-il déclaré à l'AFP."Je trouve que la situation actuelle est extrêmement confuse et je n'ai pas envie de soutenir le régime en place. Entre le nouveau monde et l'ancien monde, il faut savoir prendre du champ" assure-t-il.

"Cela fait 28 ans que je suis militant et il peut être intéressant de faire un nouveau départ dans la vie hors politique". L'homme ne manque pas de centres d'intérêts sur lesquels se recentrer, il évoque "l'énergie verte, la simplification administrative ou encore le numérique. "J'ai aussi envie de voir ma fille de quatre ans grandir" a-t-il précisé

Cet arrêt de la vie politique n'est toutefois pas total car l'ex-secrétaire d'Etat garde son mandat  de conseiller régional d'Ile-de-France.

Jean-Vincent Placé avait été élu en 2011 au sénat où il a occupé pendant quatre ans la place de président du groupe écologiste avant de faire son entrée au gouvernement début 2016.

Dans la nuit du deux au trois septembre, il a été victime d'une agression par trois individus qui lui ont volé son téléphone portable, sa montre et sa carte bleue. Violemment frappé, il ressortira de cette agression avec une lèvre fendue, une dent cassée et une blessure au dos qui entraineront une incapacité totale de travail de six jours. 

Lu sur Libération

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !