De nouveaux fonds alloués au programme balistique iranien<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
De nouveaux fonds alloués au programme balistique iranien
©BEHROUZ MEHRI / AFP

Tensions

Ce dimanche 13 août, le parlement iranien a réagit aux nouvelles sanctions américaines de juillet en votant une hausse du budget alloué au programme balistique du pays et aux Forces Qods.

C'est un nouveau pas fait dans le sens du durcissement des relations entrre Washington et Téhéran. Pour répondre aux dernières sanctions américaines contre l'Iran, le parlement du pays a voté une hausse des moyens alloués au programme balistique iranien.

260 millions d'euros supplémentaires pour le programme balistique et autant pour la Force Qods qui intervient notamment en Syrie et en Irak pour aider ces pays dans la lutte contre les jihadistes. Une hausse du budget qui s'est faite sans opposition ou presque, remportant le vote de 240 élus sur les 244 présents. Comme le rapporte Le Monde, à l'annonce du résultat, les parlementaires ont scandé un "Mort à l'Amérique".

Toujours plus de sanctions économiques

Les relations entre les Etats-Unis et l'Iran depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump ne cessent de se durcir. En juillet, Washington avait décidé de nouvelles sanctions financières et juridiques contre le pays des mollahs. Fin juillet, c'est le Congrès qui avait voté des sanctions en réponse au programme balistique du pays et du soutien au Hezbollah, considéré comme un groupe terroriste par les Etats-Unis.

Réaction

Il ne s'agit là que d'une "première action" assure-t-on du côté de Téhéran Ali Larijani, président du Parlement iranien a revendiqué des mesures pour "faire face aux actions terroristes et aventuristes des Etats-Unis dans la région".

Lu sur Le Monde

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !