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Le jour où Rachida Dati a frappé Brice Hortefeux
©Reuters

Meilleurs ennemis

Le Monde publie des confidences de Rachida Dati. L'ancienne ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy évoque notamment ses relations tendues avec Brice Hortefeux.

Dans les colonnes du Monde ce 20 juillet, Rachida Dati s'exprime toujours dans le style cash. "Moi, je pense que j’ai l’âme d’un grand voyou, dans le sens où je ne dénonce pas les gens que j’aime. J’ai été élevée avec des assassins, dans un immeuble où la moitié des mecs étaient soit des camés, soit en taule. Donc, ça forge un peu, les bastons, les trucs de bandes…", se confie l'ancienne ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy. "Même si je transgresse, j’ai toujours tenté de m’arrêter au bord. On ne m’a d’ailleurs jamais exclue, ni attaquée. Quand je vais à la radio ou à la télé, j’essaye de me contrôler", avoue-t-elle. Pourtant, elle se "considère comme hyperconventionnelle". "Petit à petit, j’ai fait mon Macron et j’ai appris tous les codes", explique-t-elle. 

"Là, je me retourne et je lui mets un coup de poing dans la gueule"

Dans cette série de confidences folles, l'eurodéputée revient également sur ses relations toujours tendues avec Brice Hortefeux. "Pendant la dernière campagne présidentielle, parce qu’il fallait se réconcilier, je montais dans l’avion avec lui, mais je le saluais en disant : 'Bonjour, le guignol', puis je disais : 'Vous ne trouvez pas que ça sent le nazi ici ?' Le grand facho, il se cachait derrière son journal, les hôtesses étaient mortes de rire !", se souvient-elle.

Dans une autre anecdote, elle avoue même avoir cogné son meilleur ennemi dans un ascenseur. "Un jour, devant un ascenseur, je lui dis : 'Alors le facho, ça va ?' Il me répond : 'Ça va, intrigante.' Là, je me retourne et je lui mets un coup de poing dans la gueule, et il se mange le miroir ! Après, Sarko m’appelle : 'Qu’est-ce que t’as encore fait ?' Je lui dis : 'Il m’a insultée.' Et lui : 'Arrête de le chercher.'"

Lu sur Le Monde

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