Assistants parlementaires du MoDem : une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Europe
Assistants parlementaires du MoDem : une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris
©Reuters

Embarrassant

La justice entend "déterminer si des irrégularités ont été commises et si elles sont susceptibles de recevoir une qualification pénale".

Seulement 24 heures après la révélation de nouveaux témoignages inopportuns pour le MoDem, le parquet de Paris a annoncé vendredi 9 juin l'ouverture d'une enquête préliminaire dans l'affaire des assistants parlementaires du parti centriste. 

"Le parquet de Paris ouvre ce jour une enquête préliminaire des chefs d’abus de confiance et recel de ce délit confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financière et fiscales (OCLCIFF) afin de recueillir l’ensemble des témoignages et documents qui permettront de déterminer si des irrégularités ont été commises et si elles sont susceptibles de recevoir une qualification pénale", peut-on lire dans le communiqué du parquet de Paris.  

>>>> À lire aussi : Emplois fictifs au Modem ? Les grandes lignes de l'affaire qui agite les réseaux sociaux

"Les cas des deux députés du MODEM objet de l’enquête préliminaire du 22 mars sont joints à l’enquête ouverte ce jour", ajoute le parquet.

Jeudi 8 juin, un ancien salarié du MoDem (qui a préféré garder l'anonymat), a indiqué avoir été rémunéré pendant près d'un an par le parti (alors appelé l'UDF), mais également par l'Association pour une Europe citoyenne présidée par Jean-Luc Bennahmias, alors qu'il assure n'avoir jamais travaillé pour le candidat à la primaire PS.

Au mois de mars, le parquet de Paris avait déjà ouvert une enquête préliminaire, après la dénonciation par une députée européenne FN, d'assistants parlementaires européens, "travaillant pour le compte de leurs formations politiques respectives".

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !