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Présidentielle : Nicolas Sarkozy aux côtés de François Fillon
©France 2

Dernière ligne droite

Après une tribune Facebook et une vidéo de soutien, l'ancien chef de l’État a reçu son ancien premier ministre pour un petit-déjeuner.

La rencontre entre Nicolas Sarkozy et François Fillon a duré une heure et a été qualifiée des deux côtés de "chaleureuse" par les deux hommes. "Compte tenu de la gravité des enjeux, de l'importance de cette élection, il me semble que tous les signes de rassemblement devaient être donnés", a expliqué au Figaro Nicolas Sarkozy. "Je soutiens la candidature de François Fillon. C'était normal qu'on en parle, qu'on discute, qu'on se voit, et que tous ceux qui m'ont fait confiance ou qui ont voté pour moi sachent que je considère que pas une voix ne doit manquer pour la France compte tenu de l'importance des enjeux, des problématiques que nous aurons à affronter. Pas une voix ne doit manquer à François Fillon", a-t-il insisté.

"L'intérêt de la France commande qu'on se rassemble"

Inquiet de "l'image que tout ceci donne de notre pays", Nicolas Sarkozy a dit ne pas pouvoir se "résoudre à ça", visant les candidatures de Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. "La France est regardée dans le monde entier. Et ces deux candidatures - je ne m'attaque pas aux personnes naturellement - c'est le contraire de ce qu'il convient de faire dans un pays ouvert, moderne, adapté à la compétition du XXIe siècle. Chacun le sent bien", a-t-il indiqué.

Appelant à nouveau à voter pour le candidat de la droite, Nicolas Sarkozy a déclaré : "Chacun fait ce qu'il veut mais il me semblait que la clarté consistait à manifester un choix sans ambiguïté, sans états d'âme, parce qu'il y a quelque chose qui est au-dessus de chacun de nous ; c'est l'intérêt de la France. Et l'intérêt de la France commande qu'on se rassemble". "C'est toujours le même problème avec la droite et le centre il faut qu'on soit unis. Sans rassemblement sans unité, rien n'est possible et c'est ça qui compte", a conclu Nicolas Sarkozy à l'issue de cet entretien.



Lu sur Le Figaro

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