François Fillon : "Jamais les juges ne pourront démontrer que l'emploi de mon épouse était fictif"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
François Fillon : "Jamais les juges ne pourront démontrer que l'emploi de mon épouse était fictif"
©PASCAL GUYOT / AFP

Convaincu

Invité de la radio RTL ce jeudi matin, le candidat Les Républicains a réagi à la mise en examen de son épouse.

Français Fillon n’en démord pas. Invité ce jeudi matin de RTL, le candidat de la droite est revenu sur l’élection présidentielle et l'affaire Penelope Fillon, concernant les soupçons d'emplois fictifs de son épouse. A propos du scrutin, le candidat Les Républicains s’est dit "serein". "Je pense que je vais gagner cette élection parce que je suis le seul à proposer une alternance. Je serai le président qu'ont choisi les Français". 

Concernant la mise en examen de son épouse, François Fillon a jugé que le dossier de cette affaire ne contenait rien, alors que les juges s'interrogent sur la réalité des emplois de Penelope Fillon à l'Assemblée nationale et à La Revue des deux mondes. "La démonstration a été faite que cette accusation était fausse. Il y a un nombre de témoignages considérables. Des preuves matérielles. Je vous le dis les yeux dans les yeux : jamais les juges ne pourront démontrer que l'emploi de mon épouse était fictif. Jamais".

Il a également tiré à boulets rouges sur Emmanuel Macron, rebaptisé compris "Emmanuel Hollande ou François Macron" et qui serait "sans convictions" pour l’ancien Premier ministre.  "Sur tous les sujets, il ne fait rien, fustige François Fillon. "Il réforme un peu l'ISF, il réforme un peu les 35 heures, il continue la politique, qui est celle d'aujourd'hui, qui donc, ne donnera pas de résultat."

Lu sur RTL

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !