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Benoît Hamon : "Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de trahisons"
©Capture d'écran France 2

Les réactions de la matinée

Ce matin, les candidats étaient de sortie dans les radios.

Benoît Hamon : Le gouvernement se partage désormais entre le candidat socialiste et Emmanuel Macron. Dernière recrue pour le candidat En Marche, Jean-Yves Le Drian. "Je ne lui en veux pas parce que je n'attendais rien de lui" a tranché Benoît Hamon sur Europe 1. "Mais je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de trahisons. Ce sont des trahisons. Pas de moi, (car) je ne demande rien, mais d'une histoire, de valeurs que nous représentons, de la place qui doit être celle de la gauche... Moi j'incarne une gauche nouvelle. Et c'est sans doute cela qui heurte certains."

Nicolas Dupont-Aignan : "Est-ce que les Français veulent encore cinq ans du faux nez de Hollande ? Est-ce que les Français veulent continuer avec un mandat qui a été la catastrophe des chemins de fer ? C'est ça la question, a lancé le candidat Debout la France" a expliqué le candidat sur RTL. "Macron est la réincarnation de Hollande. Ce sont tous les soutiens de Mitterrand, des vieux socialistes qui ont ruiné le pays qui le soutiennent. Je dis aux Français : danger ! Et je combattrai Macron jusqu'au bout."

Alexis Corbière : "Jean-Luc Mélenchon a montré une cohérence et ça s’appuie sur une mobilisation" souligne le porte-parole de la France insoumise sur Public Sénat. "Ça crée une ambiance qui montre une dynamique. Notre force avec Mélenchon c’est qu’on ne parle pas qu’à la gauche. Mais aussi à des gens de droite." 

Florian Philippot : "Ce que je peux vous dire, c'est que nous n'aurons pas, je peux vous l'assurer à 100%, de financements de banques russes" a expliqué sur France Info le vice-président du Front national. "Nous avons quelques pistes ailleurs mais je peux vous dire que ce ne sera pas en Russie. Je regrette que ce ne soit pas en France parce que les banques françaises refusent de prêter à la seule candidate Marine Le Pen."

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