Donald Trump accuse Barack Obama de l'avoir mis "sur écoute" pendant la présidentielle<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Donald Trump accuse Barack Obama de l'avoir mis "sur écoute" pendant la présidentielle
©JIM LO SCALZO / POOL / AFP

Drama queen

Dans une série de Tweet, le président américain assure que des téléphones de la Trump tower à New York ont été écoutés.

Nouvelle sortie accusatoire du président américain Donald Trump, ce samedi sur Twitter. Dans 5 messages publiés sur le réseau social, il accuse son prédécesseur Barack Obama de l’avoir mis sur écoute avant l’élection présidentielle du 8 novembre.

"Terrible ! Je viens d’apprendre qu’Obama avait mis mes lignes sur écoute dans la tour Trump juste avant la victoire. Rien n’a été trouvé. C’est du maccarthysme !", a écrit le locataire de la Maison blanche. 

"Le président Obama est tombé bien bas en mettant mes téléphones sur écoute pendant la période très sacrée du processus électoral. C’est Nixon/Watergate. Mauvais type (ou malade) !", a-t-il écrit.

Aucune précision sur l’origine de cette affirmation n’a pour autant été apportée par Donald Trump, ni sur Twitter ni ailleurs. Il a néanmoins menacé Barack Obama de prendre un avocat et de porter l'affaire en justice.

Libération souligne que cette affaire pourrait ne pas être si nouvelle que ça. En janvier, une semaine avant l’investiture de Donald Trump, la BBC avait révélé l’existence d’un groupe de travail gouvernemental chargé d’enquêter sur de possibles liens - notamment financiers - entre la campagne Trump et deux banques russes proches du Kremlin, écrit le journal. Ce groupe, composé d’agents du FBI, de la NSA, de la CIA et des ministères de la Justice et du Trésor, aurait obtenu mi-octobre de la part d’un juge de la FISA (la cour fédérale chargée du renseignement) un mandat les autorisant à mettre en place une opération de surveillance. Mais cela n'avait jamais été confirmé de source officielle.

Lu sur Libération

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !