Hérault : meurtre dans une maison de retraite pour religieux, un suspect indentifié<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Hérault : meurtre dans une maison de retraite pour religieux, un suspect indentifié
©

Meurtre

La victime est une employée de l'établissement, tuée à l'arme blanche.

Mise à jour 14h : Selon Europe 1, qui cite une source proche de l'enquête, les éléments trouvés dans un véhicule proche de la maison de retraite mènent à un ancien militaire de 47 ans. "Ce père de deux enfants a servi dans les troupes parachutistes, mais n'est pas un militaire de carrière" précise la radio.  

Mise à jour 11h25 : "Un suspect a été identifié, un avis de recherche a été lancé" a déclaré le procureur de Montpellier. "On ne peut pas à cet instant être précis sur les motivations de l'auteur. La piste locale, c'est-à-dire dans l'entourage de la maison de retraite, est privilégiée. Aucun élément ne permet pour l'instant de rattacher les faits à du terrorisme islamiste."

C'est un odieux drame qui a touché une maison de retraite pour religieux à Montferrier-sur-Lez, au nord de Montpellier (Hérault). Un homme "seul, encagoulé et armé d'un couteau et d'un fusil à canon scié" est entré dans l'établissement ce jeudi soir. Il s'en est pris à deux employées, tuant l'une avec son arme blanche, et ligotant la deuxième. Cette dernière a pu se libérer et prévenir la police vers 22h. "N'importe qui peut rentrer là-dedans", s'est indigné sur RTL le mari de la victime. "Elle est morte, et moi je suis détruit. Elle n'avait aucun problème avec personne, agréable avec tout le monde et toujours serviable."

Les équipes du Raid et du GIGN ont été immédiatement envoyées sur place mais l'homme avait déjà disparu. Les cinquante-neuf résidents ont été "mis en sécurité". "Aucun d'entre eux n'a été blessé ou malmené, (...) tous les pensionnaires sont indemnes", a déclaré le procureur. La maison de retraite accueille majoritairement une soixantaine d'anciens missionnaires d'Afrique. Pour le moment, la motivation de l'agression n'est pas déterminée et le meurtrier est toujours recherché.

Lu sur FranceInfo

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !