Financement libyen : Nicolas Sarkozy condamne une "manœuvre nauséabonde" de Takieddine et évoque son "mépris" pour Mediapart<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Financement libyen : Nicolas Sarkozy condamne une "manœuvre nauséabonde" de Takieddine et évoque son "mépris" pour Mediapart
©Capture d'écran / Europe 1

A boulets rouges

Dans un entretien accordé au Figaro, le candidat à la primaire de la droite et du centre assure qu'il va saisir la justice.

Nicolas Sarkozy n’a pas, mais alors pas du tout apprécié. Le candidat à la primaire de la droite a qualifié de "manœuvre nauséabonde" la sortie de de l'homme d'affaires Ziad Takieddine dans Mediapart ce dernier y assurant avoir remis de l'argent libyen avant la présidentielle de 2007. Dans un entretien accordé au Figaro, l'ancien chef de l'Etat a assuré qu’il allait saisir la justice.

"Monsieur Takieddine a dit à la justice ne pas m'avoir rencontré depuis 2003, et maintenant il invente une nouvelle version, fustige-t-il. C'est une manœuvre nauséabonde pour interférer dans la primaire de la droite et du centre. J'opposerai donc le mépris à ces injures et à cette grossière manipulation. La justice en sera saisie."

Dans un entretien où il revient notamment sur la fin de la primaire de la droite (dont le premier tour de déroule ce dimanche) ou encore sur l’élection de Donald Trump, Nicolas Sarkoky en profite pour tirer à boulets rouges sur le site d'information Mediapart, qui a diffusé l'entretien filmé dans lequel Ziad Takieddine détaille ses accusations. "Je n'ai que mépris pour cette officine qui depuis des années essaye sans succès de me salir, dit-il. A chaque fois, ce sont des informations sans fondement qui sont démenties par les faits".

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !